Mois : avril 2008

30 Rock

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Cette année, outre les nouveautés de la saison, j’ai eu envie de trouver une nouvelle série humoristique car hormis How I met your mother (cependant géniale), je n’avais pas grand chose à me mettre sous la dent dans ce registre…
En furetant sur le net, j’ai lu d’excellentes critiques sur 30 Rock qui est diffusée depuis 2006 sur NBC aux États-Unis et sur Canal+ en France depuis peu.

La série se passe dans les coulisses d’une émission de NBC (type Saturday night light) dont on suit la scénariste en chef, Liz Lemon (l’excellente Tina Fey), son nouveau boss, Jack Donaghy (très bon Alec Baldwin) ou encore Tracy Jordan (Tracy Morgan) la nouvelle star du show imposé à l’équipe.
Cela dit, tous les personnages secondaires sont importants (et déjantés) et apportent un vrai souffle comique, tels Kenneth (Jack MacBrayer, actuellement dans le nouveau clip de Mariah Carey) ou Jenna, l’autre star du show (Jane Krakowski, ex secrétaire d’Ally McBeal).

Cette sitcom met un peu de temps à se mettre en place, il faut persévérer au-delà des premiers épisodes et supporter Tracy Jordan mais après ça il y a franchement des passages hilarants!
Son plus gros problème à mon sens c’est d’être assez inégale car tous les épisodes ne sont pas aussi drôles les uns que les autres mais il serait dommage de passer à côté pour autant.
L’autre chose qui peut gêner le spectateur ce sont les nombreuses références à l’univers télévisé américain… Ça va d’une blague à propos d’Ugly Betty par exemple à des mentions de personnalités qui nous sont parfois inconnus en France…
D’ailleurs en parlant de personnalités, la série accueille un certain nombre de guests star dont Al Gore, David Schwimmer (Friends) ou encore Seinfeld.

30 Rock dont le nom vient de l’adresse de NBC, 30 Rockfeller Center, connaît un succès mitigé sur le public américain mais un très grand succès critique et un soutien sans faille (jusqu’à présent) de la chaîne qui n’hésite pas à la renouveler. Elle a d’ailleurs remporté l’Emmy Award de la meilleure série comique en 2007.

Blogueuses Montrélaises…

…Rendez-vous ce vendredi à 18h devant le Musée d’Art Contemporain (Place des Arts)!

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À l’initiative de Val, cette soirée sera l’occasion de rencontrer des blogueuses tout en participant à la nocturne du MACM, c’est-à-dire en dégustant des cocktails et en écoutant une performance live… Tout en visitant les expositions biens sûr, pour qui vous me prenez?!

Bref, c’est l’occasion unique de mettre des visages sur des pseudos ou tout simplement de faire des rencontres et de papoter.

La chaussure sur le toit

chaussuretoit.jpg La chaussure sur le toit (Gallimard) se présente comme un recueil de nouvelles écrit par Vincent Delecroix. Je n’aime pas forcément lire des nouvelles car je trouve souvent cela frustrant mais ce recueil a la particularité d’avoir un fil rouge dans chaque histoire qui fait que le lecteur a envie de lire la suivante, on flirte avec le roman à vrai dire.

Vincent Delecroix s’attache à un immeuble, à ses occupants et à une chaussure sur le toit d’en face qui pourrait y être arrivé de bien des manières différentes comme on nous l’explique…
À travers certaines histoires, on ressent un effet « Amélie Poulain » car on retrouve une galerie de personnages aux destins mêlés, tous attachants, parfois pathétiques ou très drôles mais toujours sincères. Il est souvent question de solitude dans ce « roman » et cela s’inscrit dans différents genres: le conte pour enfant, la tragédie grecque et surtout la mise en abyme à travers la réflexion littéraire.

Parmi les personnages, on rencontre un cambrioleur amoureux bafoué, une vieille dame agacée, un chien blessé, une fillette éveillée et encore bien d’autres. On pénètre dans ce livre par l’imaginaire et même si l’on s’approche parfois de la réalité, la chaussure sur le toit reste insaisissable.

Ce livre a fait parti de la sélection du « Choix des libraires » à l’automne 2007 et je me rends compte en lisant les critiques sur internet que pour tout le monde il s’agit d’un roman… Ça me surprend un peu que cela ne prête pas à débat mais bon, on suppose qu’ils connaissent leur sujet alors au temps pour moi.

La chanson de la semaine: Gate 22 de Pascale Picard

memyselfandusgu9.jpg Honneur au Québec cette semaine, c’est donc Pascale Picard qui illustre ce billet avec Gate 22. Au cas où vous hésiteriez à cliquer sur le lecteur, Pascale Picard n’a rien de commun avec les chanteuses québécoises qui arrivent jusqu’aux frontières françaises et à commencer par la langue puisqu’elle a la particularité de chanter en anglais!

C’est Marlène qui m’a fait découvrir ce groupe, oui parce que derrière Pascale Picard se cache aussi 3 musiciens pour former le Pascale Picard Band (il fallait y penser). Leur album, Me Myself and Us évolue entre folk, pop voire même rock.
La voix de la chanteuse me fait vraiment, vraiment penser à quelqu’un d’autre mais je suis incapable de remettre le nom dessus (un peu d’aide??)…

Quitte à parler du Québec, autant vous raconter ma petite vie, donc ces derniers jours alors qu’il fait plus de 20° et un beau soleil, j’arpente la ville à la recherche d’un appart. Et le problème, comme toujours dans ces cas-là, c’est qu’il y a vachement plus de grands apparts à louer (qui conviendraient à une colocation) que des « 1 chambre », autrement appelés des 3 et demi ici car on compte en nombre de pièces et que la salle de bain compte pour « demi ». Si on ajoute à ça que j’aimerais trouver dans un quartier très spécifique, proche d’un métro, avec les électros compris, forcément ça rajoute des contraintes! Mais bon je commence juste à chercher…

Vous immigrez aujourd’hui?

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C’est la question que m’ont posée plusieurs agents de l’immigration lundi à mon arrivée à Montréal… Avant cela il a fallu quitter la famille à Lyon, attendre l’avion qui avait une demi-heure de retard, attendre 4h30 à Londres puis enfin arriver au bout du voyage, au Canada.

Une fois descendue de l’avion, je passe la douane, je sors mes documents à l’agent qui me demande si « j’immigre aujourd’hui » et comme la réponse est oui, je suis envoyée à la case Immigration où l’on me pose la même question. Je signe quelques documents, donne l’adresse de Marlène pour recevoir ma carte de Résidente Permanente dans quelques semaines et récupère ma confirmation de RP, ce qui me vaut le droit d’aller à la case Immigration Québec! Là on me donne un rendez-vous dans la semaine avec un agent pour une séance d’information, on me remet des documents pour pouvoir m’affilier à la RAMQ (sécu québécoise), un beau livret avec tout plein d’informations (que je n’ai pas encore ouvert mais en même temps ce n’est pas comme si je ne connaissais pas le pays) et enfin on me dit « Bienvenue au Québec, bonne chance! » Gloups!

Sur ce, je file récupérer mes valises et pense enfin pouvoir me diriger vers la sortie (il était plus de 2h du mat en France) mais c’était sans compter le dernier contrôle qui en voyant que « j’immigre aujourd’hui » m’envoie aux bureaux des bagages (ça a sans doute un autre nom mais je ne le connais pas). J’ai eu peur un moment qu’ils veuillent ouvrir mes valises qui étaient bien pleines mais en fait non, là encore je signe un document, on me demande quelle est la valeur de ce que j’emmène (euh?? 2000$?!) et enfin cette fois j’en ai fini avec l’aéroport!

En me dirigeant vers les taxis, je me suis souvenue de la dernière fois que je suis arrivée à Montréal… C’était en janvier 2007, je revenais de Vancouver et Aurélie, une copine qui venait me chercher, était introuvable! Après un bon moment on a fini par se rejoindre, la demoiselle s’était trompée d’étage si je me souviens bien! Ah la la, c’était le bon vieux temps, l’époque où je n’étais que pvtiste alors que cette fois je suis immigrante à part entière. D’ailleurs à la séance d’information qui a eu lieu aujourd’hui, le monsieur à la fin nous a dit « au nom de tous les québécois je vous remercie d’avoir choisi le Québec« ! J’en avais presque les larmes aux yeux!

Encore plus de films

Et voici venu le temps des… films du moment! Enfin du moment c’est un grand mot vu que la plupart ne sont pas vraiment récents mais certains valent malgré tout le coup. Et comme toujours dans ces cas-là, rétrospective chronologique par ordre de visionnage.
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D’abord, il y a eu volonté de comédie romantique et bande annonce pas mal qui nous a poussées Géraldyne et moi-même un soir à regarder On va s’aimer avec Alexandra Lamy, Julien Boisselier, Mélanie Doutey et Gilles Lellouche. Sauf que ce film est une catastrophe. C’est chiant, c’est long, c’est grotesque, les personnages ne sont pas creusés, pas crédibles, les actrices mauvaises, bref, on a détesté (et je persiste à dire que Boisselier a une voix qui ne lui ressemble pas)!

batman.jpg Après ça, je me suis replongée dans des valeurs sûres pour regarder Batman begins, réalisé par Chistopher Nolan, que je n’avais encore jamais vu. Christian Bale en Batman m’a quasiment autant emballée que Daniel Craig en James Bond, c’est dire car je l’adore; il (Christian Bale) est vraiment très convaincant en homme tourmenté malgré ses traits un peu jeunes parfois.
Le seul petit reproche que l’on pourrait faire au film c’est sa mise en place un peu longue mais une fois que l’on est dedans on oublie tout le reste… Je suis impatiente à présent de voir le prochain Batman – The Dark night – (presque autant que de voir le prochain James Bond rendez-vous compte)!

PSILoveYou.jpg Comme un peu de douceur dans ce monde de brut n’est jamais inutile, j’ai enchainé avec Ps: I love you, avec Hilary Swank et Gérard Butler. C’est triste, mais finalement un peu moins que ce que je craignais mais par contre ça fait bizarre de voir Hilary Swank dans ce type de rôle (avec ses serres-têtes notamment)… Je ne suis pas habituée et plusieurs fois j’avais l’impression qu’elle allait se retourner pour laisser place à Jennifer Garner!
Quoiqu’il en soit le film fait passer un agréable moment même si d’ores et déjà je ne m’en souviens plus trop à part que dans les grandes lignes une femme perd l’homme de sa vie et essaie de se reconstruire grâce aux lettres qu’il lui fait parvenir après sa mort… Un mélange de flash-back et de ses tentatives pour se reconstruire malgré le drame.

augustrush.jpg Puisqu’on est dans le registre de l’amour, August Rush met en scène Keri Russel et l’incroyablement sublissime Jonathan Rhys-Meyers! C’est bien simple, oubliés James McAvoy, Ryan Gosling ou Jim Sturgess, je suis totalement subjuguée par J.R-M, au moins dans ce rôle, parce que dans Match Point (de Woody Allen) il ne m’avait pas fait la même impression.

Pour en revenir au film, c’est l’histoire d’un jeune orphelin de 11 ans (joué par Freddie Highmore vu dans Neverland, Charlie et la chocolaterie ou encore Arthur et les Minimoys) qui part à la recherche de ses parents en « suivant la musique » parce que figurez-vous qu’il est en passe de devenir un jeune prodige… On suit en parallèle le destin de ses parents qui se sont aimés follement une nuit puis ont été séparés sans jamais s’oublier (si ça fait pas poésie à 2 balles j’en veux rien!).
En fait, s’il n’y avait pas eu le môme j’aurais sûrement adoré cette histoire d’amour improbable mais le gamin vient gâcher la moitié du film, forcément il ne s’appelle pas Jonathan Rhys-Meyers!!
Je vous ai dit qu’il a des yeux incroyables, une cicatrice au-dessus de la lèvre presque comme moi (en fait la mienne se voit à peine), c’est sûrement un signe du destin pour signifier qu’on est âme sœur, non?! Enfin bref, le film est sympa grâce aux parents qui dégagent une vraie intensité mais il y a quelques invraisemblances qui mériteraient d’être gommées…

lionslamb.jpg Enfin, dans l’avion, j’ai vu Lions for Lambs (Lions et agneaux en VF), le dernier film de
Robert Redford dont je n’attendais rien de spécial et j’avais bien raison! On suit 6 protagonistes dont 2 jeunes soldats en Afghanistan, un sénateur (Tom Cruise) et une journaliste (Meryl Streep) qui font la conversation autour d’une nouvelle stratégie militaire et du rôle des médias, et enfin un professeur d’université (Robert Redford) qui tente de convaincre un élève prometteur de ne pas gâcher son potentiel… Tout ça nous donne un film engagé (contre Bush, la guerre en Irak, la façon dont les médias américains traitent de ces sujets) mais parfaitement creux!
On a un peu d’action avec les deux soldats qui, forcément, vont subir une attaque mais comme l’avion n’est pas l’endroit le plus sombre pour voir un film, je râtais à peu près toutes les scènes se déroulant de nuit! Pour le reste ça blablate, ça manque d’intérêt à part vouloir faire la morale à ses concitoyens américains, vous me direz c’est déjà un bon début surtout qu’il y a du boulot! Ah ah!

Bientôt je vous parlerai de mon arrivée au Canada…

Entre deux

diapo_montreal.jpg Voilà, à l’heure où vous lirez ce post je serais dans un avion quelque part au-dessus de l’Atlantique!
Enfin, plus vraisemblablement, je serais à Londres en train d’attendre mon vol pour Montréal car j’ai 5 heures d’attente là-bas! C’est toujours chiant de se lever tôt pour aller à l’aéroport (de Lyon) et en fin d’après-midi d’être toujours en Europe! Mais bon, grâce à la magie du décalage horaire, à 19h45 heure locale, je serais au Québec…

Là tout de suite, c’est un mélange d’appréhension pour les au-revoirs à l’aéroport avec les parents et un petit pincement au cœur en pensant à tout ce qui pourrait arriver, et notamment pendant le vol!
Parce qu’autant j’aime l’avion, autant à chaque fois j’ai bien conscience qu’il pourrait se passer un truc grave… Passons.

Lorsque je faisais mes bagages, je me demandais par moment ce que j’étais en train de faire et où j’allais. C’est pas faute pourtant d’attendre ce jour depuis des mois mais c’est peut-être ça le problème, il se passe tellement de temps entre les démarches pour le visa et le départ que toutes les angoisses ont eu le temps de faire des petits!

En même temps, je vais être hébergée chez des amis en arrivant et je sais déjà que j’adore Montréal, donc il n’y a pas de souci à se faire mais j’ai du mal à me dire que cette fois je n’aurais plus d’excuse pour ne pas chercher (et trouver) un vrai job dans l’édition, avoir des responsabilités, etc. Et puis, je sais pas, je n’arrive plus à visualiser la ville, la vie que je pourrais avoir là-bas, tout est flou, en pause dans ma tête ces jours-ci, même si je n’ai aucun doute quant à ma décision de partir. C’est juste que j’aimerais que ce soit passé. Et à l’heure où vous me lirez ça sera quasiment le cas.

Bonne journée à tous, la prochaine fois que vous me lirez, ça sera en direct de Montréal!

Du rasoir à l’épilateur… ou pas!

Comme un certain nombre de blogueuses, j’ai eu la chance d’être sélectionnée par Buzzparadise pour tester en avant-première le presque révolutionnaire nouvel épilateur de Panasonic.

Le problème c’est que moi les épilateurs j’aime pas parce que ça fait mal et que je suis douillette (et que même si je ne l’étais pas, ça ferait toujours mal)! J’ai testé deux fois ces engins de malheur, avec deux épilateurs différents et à chaque fois le résultat a été le même « c’est trop douloureux je peux pas! »

Sauf que lorsqu’on m’offre gratuitement un produit en avant-première, je fais fi de tout pour accepter dans la seconde et même que je m’applique à lire la documentation pour voir à quoi je m’expose (et réduire le risque de faire une bêtise).
Si j’en crois la notice, cet épilateur est magique car, sans fil, on peut l’utiliser sous la douche et réduire ainsi la douleur! Ouah! Ça laisse rêveuse et ça me fait presque franchir le pas sans trembler!
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Armée du mignon objet (très maniable aussi), de son embout à 3 têtes et de mon gel douche, j’ai donc allumé le Wet and Dry et première constatation, il est relativement silencieux, on est loin du gros bruit des anciens épilateurs qui, déjà, faisait paniquer. Après, il faut reconnaître que niveau douleur, c’est vraiment moindre, quelques picotements type électricité, mais ça reste très supportable même pour moi!! Génial!

Par contre, pour l’embout spécial maillot, un truc à du m’échapper car c’est loin d’être efficace, ce qui fait que j’ai repris l’embout de compet’ à 3 têtes même si ce n’est pas celui prévu pour…

Sous la douche j’avais du mal à me rendre compte s’il restait des poils ou pas et j’ai eu beau repasser plusieurs fois, le constat est sans appel en sortant de la douche, il y a des ratés! En lisant les blogs des autres « testeuses », il semble que l’épilateur soit plus efficace à sec… Étant donné que sous l’eau, je n’avais quasiment pas eu mal, je testerai donc comme une grande à sec la prochaine fois…

Par contre, si cet épilateur est vraiment top, je n’avais pas pris en compte les démangeaisons après coup (qui sont peut-être inhérente à tout épilateur??)! J’ai beau hydrater ma peau, ça me gratte et puis ça fait des petits boutons! Du coup, j’avoue que le rasoir donne un rendu beaucoup plus doux et moins embêtant ce qui me fait hésiter pour la suite… Je vais voir comment ça évolue et je testerai une nouvelle fois à sec mais si c’est pour qu’à chaque fois j’ai la peau irritée, ça ne va pas le faire longtemps…

Dear Mr President

 

pink.jpg Dear Mr President est la chanson de la semaine et elle est signée Pink.
Je ne connaissais pas ce titre jusqu’à l’entendre dans un épisode de The L Word, décidément j’ai bien faire de rattraper cette série!

La chanson est évidemment une ode anti Bush, ce qui est toujours bon à prendre même si dans quelques mois on en sera débarrassé!

« You’ve come a long way
from whisky and cocaïne »

La chanson parle d’elle-même, je ne sais pas si vous aimez ou pas, mais moi je dois dire quelle me plaît beaucoup, d’autant que de Pink je ne connais quasiment que des chansons rock où sa voix est sensiblement différente, plus masculine.
Dans ce morceau aux paroles fortes, la douceur de la voix de Pink apporte quelque chose de rassurant je trouve… Et puis ça change de la Nouvelle Star d’hier dont le niveau et le choix des chansons étaient dénués d’intérêt!

Il était une fois

Une nouvelle venue dans la blogosphère, Blandine, m’a taguée sur le principe « Il était une fois une jolie princesse » et ça tombe bien car j’adore les albums photos!

Il était une fois une jolie princesse dont les parents s’étaient mariés au début des années 70… mais qui n’avaient pas pensé à conserver les jeans pattes d’eph’ en vue de la mode du « flare » 2008.
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Ils en avaient profité, quelques années plus tard, pour mettre au monde un petit garçon joufflu, prénommé David, qui vécut 5 années d’une vie tranquille d’enfant unique.
Mais un jour il dut accueillir avec bonheur (n’est-ce pas) sa petite sœur, la jolie princesse… même si ça ne se voit pas sur cette photo!
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Heureusement qu’il avait bien profité de sa tranquillité car dorénavant le repos s’annoncerait difficile à trouver et il faudrait partager ses jouets…
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Cependant comme nos cousins-cousines habitaient à une maison de nous, cela lui évitait de devoir supporter seul au quotidien la jolie princesse!
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(pourquoi suis-je en botte de pluie quand ma cousine est en tongue??!)

Malgré toutes les misères que la princesse pouvait lui faire (j’essaie de le mordre sur la première), son frère essayait toujours d’être gentil…
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De nombreuses années passèrent ainsi, et aujourd’hui la petite princesse est devenue une voyageuse, au grand damne de tous les gens de son royaume (photo non exhaustive)…