J-3

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Cette année pour notre déménagement on a décidé de passer par des professionnels. Exit le lumbago du aux 5 électros à déplacer, adieu le casse-tête pour faite tout tenir dans un « petit » camion, cette année 3 déménageurs feront tout ça pour nous.
Cela ne nous empêche pas de devoir faire les cartons (ce qui est déjà bien assez chiant) et d’avoir un appart qui ressemble à un champ de bataille en attendant mercredi. Pourtant on emmène régulièrement des affaires à la maison, histoire que tout aille plus vite le jour J vu que nos professionnels sont payés à l’heure!

Dans l’histoire c’est Tartine qui est un peu perturbée puisqu’on a vendu « son » canapé et que l’emplacement de son pillow sert à stocker un carton à présent! Avec toutes les misères qu’elle nous a fait ces derniers temps, elle doit avoir peur qu’on parte sans elle, du coup elle nous suit partout!

À propos

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Le seul sujet de discussion en ce moment étant les températures caniculaires que nous endurons depuis plusieurs jours, je vais en faire autant!

J’en peuuuuuuuuuuuuuuuux pluuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuus!

À 7h du mat, comme à 22h, il fait toujours plus de 30° à l’extérieur, températures qui s’élèvent dans les 42-45° en ressenti à cause de l’humidité! On se sent donc poisseux en permanence, l’avantage c’est qu’on est tous dans le même bain!
Je passerais bien plus longtemps au travail pour profiter de la clim mais il y fait trop froid pour être bien, ou alors il faut porter un gilet et une pashmina en guise de couverture, comme je fais tout l’été! Nice!
Ah vivement l’hiver hein!

Toronto Pratique

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La première fois que je suis allée à Toronto, j’avais beaucoup aimé la ville, notamment Kensington Market, même s’il n’y avait pas l’ambiance de Montréal. Cette année, j’y suis retournée quelques jours avec mes parents et je dois dire que j’ai beaucoup moins aimé la ville… D’abord, il y avait une drôle d’odeur présente quasiment tout le temps, qui m’a vraiment dérangée. Ensuite, même Kensington Market m’a paru plus terne qu’en 2006, alors que la CN Tower coûte toujours un bras et qu’il faut parcourir des kilomètres pour trouver un espace vert ou juste un banc pour s’asseoir!
En effet, on s’est acheté des jus de fruits frais dans un primeur de Kensington Market et de là on voulait aller à Little Italy. On pensait qu’en chemin on trouverait un endroit pour se reposer quelques minutes mais on a fini par se retrouver dans une cour d’école pour trouver un banc, nos jus de fruits longtemps bus déjà!

Little Italy et ses cafés animés (les italiens jouaient ce jour-là dans le cadre de la Coupe du Monde) est à la rigueur le coin que j’ai préféré de ce séjour, pourtant c’est dans le downtown qu’on a choisi de manger une pizza plus tard ce jour-là!

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Niveau gastronomie donc, on a plutôt été satisfait, à commencer par un resto coréen, Korean Grill House, sur Queen Street, super sympa dont on a trouvé l’adresse dans le guide Ulysse. Le concept est simple, vous avez un grill par table, on vous apporte toutes sortes de mets crus, marinés, (viande, éventuellement crevettes, poisson) et chacun fait cuire ce qu’il veut. Le tout est à volonté et est servi avec du riz. On s’est vraiment régalé, à part ma maman dont la vue de la viande crue (pourtant dans des petits plats) a fini par l’écœurer…

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Le lendemain matin, on a testé un brunch trouvé sur le blog d’Une parisienne à Montréal, Le petit déjeuner, dont tout le monde est ressorti ravi! Le service était top, les assiettes copieuses et comme on était les seuls dans le resto, on était pénards!
Pour finir notre séjour, nous avons donc testé un resto italien nommé Terroni au 720 Queen Street. On était placé sur une table surélevée, ce qui nous procurait une place de choix pour admirer le décor, d’autant que la cuisine était toute proche. À la carte, il y a pas mal de choix, notamment de pizzas, et tout le monde a aimé ce qu’il a pris. Par contre, les prix sont un peu élevés, et à 5 en prenant seulement un plat (pizza ou pâtes) et 2 bouteilles de rosé (on boit pas mal dans ma famille), on s’en est sorti pour 200$!

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Au niveau de l’hébergement, on a opté pour un hôtel réservé via Expedia, le Ramada Plaza situé au 300 Jarvis Street, soit proche de tout. À 5, n’ayant pas pris 2 chambres séparées (plus chères), nous avons eu une suite avec 2 chambres fermées et un canapé-lit dans le « salon » central!
On avait vraiment de l’espace (d’autant qu’on dormait dans des lits king!) mais la salle de bains était relativement vétuste. Pour le prix (400$ pour 2 nuits et 5 personnes), on était plutôt satisfaits vue la proximité des centres d’intérêts, mais le prix ne comprend pas le parking (20$ la nuit) et les petits-déjeuners…
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Retrouvez le « New-York Pratique » ici.

Acheter une maison: les dernières surprises

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Quand vous achetez une maison, vous pensez que le moment le plus stressant sera celui du choix de la maison, de la décision finale, voire de la signature de la promesse d’achat mais en fait non.

Le moment le plus stressant, en tout cas pour un premier achat, est celui qui précède la signature chez le notaire, surtout quand 3 personnes de votre entourage sont passées par là peu de temps auparavant et que 2 d’entre elles ont eu des surprises de dernière minute due à l’incompétence de la banque et au manque de proactivité du notaire.
Dans notre cas, cela fait 1 mois que l’on appelle le notaire pour fixer l’heure du rendez-vous et savoir de quoi il a besoin et cela fait un mois qu’il nous dit qu’il n’en est pas encore à notre dossier… Mercredi, quand il s’est enfin penché sur notre dossier, il nous a mis la pression car il n’avait pas eu d’info de la banque (qu’on harcelait déjà depuis 1 semaine) et qu’il lui fallait au moins un délais de 3 jours pour faire ses calculs. C’est pas comme s’il s’y prenait au dernier moment non plus vu qu’on signe dans moins d’une semaine!

Sur ces entrefaites, on recommence à harceler la banque (et un vendredi 2 juillet, lendemain de jour férié, ce n’est pas simple) qui elle se réveille tout à coup! C’est là qu’ils réalisent qu’il faut qu’ils envoient un inspecteur d’urgence et c’est là que le constructeur n’est pas joignable évidemment!

Nous, au milieu de tout ça, on joue les intermédiaires, entre le notaire qui chaque jour nous informe de nouveaux documents nécessaires (compte de taxes, note de couverture d’assurance, certificat de garantie de la maison -que seule l’agent immobilier a-, etc.), la banque qui a besoin d’informations du constructeur, le constructeur qui n’est jamais directement joignable et l’agent immobilier, électron libre…

Entre temps, on a réussi à fixer l’heure du rendez-vous à 16h lundi prochain (youhou) mais on ne connaitra les montants à payer (par traite bancaire car un chèque certifié de la banque ne convient pas!) que vendredi, quand le notaire aura fini ses calculs! Ou comment nous faire stresser un peu plus à tout faire au dernier moment!

Hot Spot

hot_spot.jpgDans la série « Elle nous les fera toutes », après la gastro (x2), Tartine est en ce moment en convalescence pour cause de « hot spot » dixit la véto des Urgences. C’est en fait une infection causée par la chaleur et l’humidité dans les zones où il y a beaucoup de peau (sous le cou dans son cas). Cela se manifeste par des rougeurs mais surtout une forte démangeaison, et parfois des suintements.

Dans le cas de Tartine, on s’est rendu compte samedi matin que quelque chose n’allait pas mais on pensait qu’en l’empêchant de se gratter et en laissant sécher la plaie, cela s’arrangerait. Le lendemain matin, voyant que rien n’avait changé et que son cou était toujours humide, on l’a emmené aux Urgences vétérinaires de Brossard au lieu de son véto habituel qui n’était pas encore ouvert…

Tartine a comme toujours accueilli la véto à grand coup de remuage de queue (je ne connais aucun chien qui soit aussi content de voir un véto qu’elle!) mais quand la dame a voulu tondre son cou, elle a commencé à montrer les crocs! Du coup, on est passé par une anesthésie, le temps de tout désinfecter et on n’en revenait pas de l’étendue de la dermatite. Autre piqure pour la réveiller cette fois et on a pu la ramener à la maison, non sans s’être délesté de 400$, aïe!!

Elle n’a pas de collerette car son cou doit rester à l’air libre mais elle a toujours des crises de démangeaisons malgré ses cachets. En même temps elle sait qu’elle ne doit pas se gratter ce qui donne des scènes assez cocasses où elle commence à se gratter, se retient, tourne en rond, essaie de se calmer et émets des couinements à nous fendre l’âme!

La pauvre a non seulement une sale tête mais en plus ne sent pas très bon, entre les suintements et la crème à lui appliquer… Quant à nous, on doit la surveiller sans cesse pour l’empêcher de se gratter et la calmer quand ça devient trop infernal (elle se gratte au sang)… Un dimanche idéal quoi.

Habiter en ville

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Vous avez remarqué comme à partir du moment où on prend une décision, notre point de vue s’en trouve altéré? Par exemple, vous décidez de quitter la France et vous ne lui trouvez tout à coup que des défauts, ou alors vous décidez de changer d’appart et d’un coup vous ne remarquez que les imperfections de celui-ci?
Nous on a décidé de quitter la « ville » pour s’installer en « banlieue », du moins au vert, sur la Rive-Sud. Plus le jour du déménagement approche et plus je trouve la vie en ville insupportable!

Alors bien sûr habiter en ville, c’est être proche de tout, que ce soit de son travail ou des dizaines de restaurants. C’est aussi pouvoir faire plein de choses à pieds, sans voiture ni transport en commun, ne pas avoir d’horaires à gérer pour se déplacer ou dépendre tout bonnement de la voiture.

Par contre, habiter en ville, ce sont des nuisances sonores en permanence. Par exemple, en ce moment, dès qu’on se couche, je ne remarque que les bruits des pick-ups, trucks, ou autres véhicules à moteur qui roulent toujours trop vite à mon goût et avec des bruits de vieil engin bons pour la fourrière. Vous me direz avoir une chambre qui donne sur la rue (pourtant résidentielle), ça n’aide pas, surtout quand on est au rez-de-chaussée et qu’on dort la fenêtre ouverte…
En terme de bruit, on a aussi les voisins qui descendent (ou montent) les escaliers (métalliques) avec des poids de 15 kg à chaque jambe ou alors comment expliquer qu’ils font autant de bruit? Sans compter les discussions dans la rue, que ce soit les poivrots perdus par là ou juste les voisins qui se racontent leur vie à 7h du mat’ un dimanche!

Habiter en ville, c’est bien souvent habiter en appartement, dans des bâtisses relativement mal isolées, qui laissent passer aussi bien le bruit que la chaleur, notamment quand c’est le temps de payer la facture Hydro en hiver! Sans compter que tant qu’on est locataires on ne veut pas trop s’investir dans l’appart, donc décoration minimum, entretien du jardin qui se résume à la tonte de la pelouse, tant pis pour les massifs, et encore je ne vous parle pas de l’état des vitres! Mais qui a envie de démonter des moustiquaires et sortir sur le pas de la porte pour pouvoir faire les vitres quand on sait qu’on ne restera que quelques mois??

Pour moi, habiter sur la Rive-Sud, ça veut dire dépendre de la voiture et des bus (mince) mais aussi ne plus avoir de voisins (en tout cas pas au-dessus de nous, ni collés à nous), pouvoir dormir les fenêtres ouvertes sans subir les bruits de la ville, ne pas entendre ce que font nos voisins (encore qu’on n’entend pas souvent les nôtres), ou ne pas éviter de faire du bruit à des heures indues parce que nos voisins risquent de nous entendre.

Vous aurez compris à mon introduction que mon point de vue est totalement biaisé maintenant, mais plus les jours se rapprochent et plus j’ai hâte d’être « banlieusarde », moi qui déteste la voiture et qui adorait pouvoir tout faire à pieds justement! Si c’est pas ironique…

Le bistro du marché

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Il y a quelques temps, des amis nous ont fait découvrir le Marché Central, et notamment son bistro, niché dans un coin discret dans lequel on sert des brunchs chaque matin.
Hauts plafonds, décor industriel tendance et une carte plus qu’abordable sont les principaux attraits de ce lieu. On y mange des formules classiques œufs-bacon, accompagnées de jus de fruits pressés, ou encore des clubs sandwichs, burgers et autres œufs bénédictine…

C’est un peu loin et inaccessible sans voiture mais une fois rendu on peut se balader dans le marché (marché de fleurs) ou encore profiter des nombreuses boutiques du coin et notamment de la SAQ Dépôt où pour 12 bouteilles achetées on vous offre 15% par exemple…

Souper au Valois

J’avais déjà parlé du Valois à propos de leur brunch mais jamais encore des autres plats proposés… Nous y sommes allés 3 soirs, dont une fois en terrasse et un dimanche soir où il n’y avait quasiment personne. Par contre, lors de notre dernière visite, une veille de jour férié, nous avons pu constater à quel point le lieu pouvait être bruyant quand il est très achalandé…

Du côté de la carte (il n’y a pas de table d’hôte), on y trouve des choix pour tous les goûts. Quelques salades et tartines mais surtout onglet de bœuf à l’échalote, moules à la provençale, tartare de bœuf, foie de veau poêlé, jarret de veau et encore bien d’autres plats que je n’ai pas mémorisé.
En entrée, on hésite entre la tarte aux tomates confites, le tartare de saumon, l’assiette de gravlax maison, le carpaccio de bœuf, le plateau de cochonnailles ou encore la soupe du jour. Côté dessert, j’aurais bien tenté le petit pot de crème au chocolat mais il n’en avait plus, j’ai donc du me rabattre sur le fondant au chocolat, par ailleurs très bon, quand Chéri a, lui, pris une crème brûlée.
La carte des vins est bien étoffée mais comme toujours au restaurant on a l’impression de le payer trop cher (ici 8$ au verre)… Les entrées sont dans les 11$ en moyenne, les plats dans les 22$ et les desserts aux alentours de 8$. On en sort donc déjà pour une belle addition, surtout à Hochelaga mais le lieu est très convivial, peut-être trop si on juge au bruit…

Du nouveau

À droite, dans l’onglet Pages, vous pourrez découvrir le lien « Où manger? » qui regroupe toutes les adresses de restaurants dont j’ai parlé sur mon blog. Il faudrait que j’affine mon classement et que je mette des photos mais rien que réécrire quelques lignes pour chaque adresse (je me souvenais à peine de certains lieux) m’a déjà demandé pas mal de temps!

Du coup, la page « On écoute quoi?« , qui récapitulera les chansons mises en extrait, va devoir attendre quelques jours!

Où manger?

Ici vous trouverez toutes les adresses de restaurants (brunchs et autres) testés à Montréal et ailleurs…

Montréal et ses alentours

L’eggsquis: sympathique chaîne de brunch qu’on trouve essentiellement à Laval et sur la rive-sud. Prix abordables et fruits frais.

Le Bitoque: restaurant portugais près d’Atwater très bruyant mais pas très typique.

Le Sparrow: brunch à l’anglaise, original par son décor mais les choix sont limités.

Modavie: situé dans le Vieux Montréal, on peut y manger en écoutant du jazz mais au risque de ne plus entendre ses convives de table!

Le Margaux: excellent restaurant qui plaira aux gourmets. On y trouve notamment de nombreux plats à base de foie gras (cuit ou non) mais la carte ne se renouvelle pas souvent.

Monsieur B.: la qualité est au rendez-vous mais les portions ne sont pas très généreuses, dommage car le prix lui n’est pas donné.

Quoi de n’oeuf?: sur Notre-Dame, près du marché Atwater, ce brunch manque un peu de fruits mais propose des assiettes copieuses.

Trinity: dans la catégorie restaurant grec, Trinity vaut d’abord par son décor. Les mets sont frais et bons mais le prix un peu élevé. Mis à jour: le restaurant a malheureusement fermé…

L’eggxotic: entre Boucherville et Longueuil, cette adresse plaira aux amateurs de jus de fruits pressés (on peut le servir en 1litre) mais aussi à tous les gourmands.

L’évidence: le décor est vraiment quelconque les prix sont en deça de la moyenne pour des assiettes pourtant très bonnes. Les choix ne sont par contre pas très originaux

Confusion: comme la plupart des restaurants à tapas, c’est assez cher et on risque de rester sur sa faim. Le cadre, par contre, est original et sympathique.

La petite ardoise: situé sur la rue Laurier, on y retrouve un décor parisien qui plaira aux nostalgiques… Les choix sont variés mais les jus d’oranges ne sont pas pressés.

Na Brasa: sa terrasse tranquille est parfaite pour l’été, d’autant qu’on y mange bien pour pas cher!

In vivo: les choix sont limités et trop originaux pour le coup, je n’y retournerai pas. Finalement j’y suis retournée et j’ai trouvé un choix que j’aimais mais c’est le seul…

L’assommoir: on a testé ce restaurant quand la carte de brunch venait d’être mise en place, du coup ce n’était pas très rôdé encore… Si on passe dans Outremont, ça pourrait être une adresse à retenter.

Baguette et Bagatelle: petit brunch discret d’Hochelaga-Maisonneuve, tout près du Marché du même nom. C’est sympa mais là encore les jus d’oranges ne sont pas pressés.

Les trois petits bouchons: dans la catégorie des restaurants pour gourmet, Les trois petits bouchons n’est pas mal du tout mais les lieux sont un peu exigus.

Dans la bouche: un incontournable du Plateau avec sa carte variée aux noms de plats rigolos. On y mange bien mais il faut savoir s’armer de patience pour y rentrer ou alors avoir réserver, et encore.

Café Passion: une adresse sympathique à St Lambert mais qui n’a rien d’extraordinaire non plus.

Le Valois: le Valois est LE restaurant d’Hochelaga, situé sur la toute belle place du même nom. Les choix de plats au brunch sont un peu trop restreints et originaux pour moi mais on y déguste de l’excellente cuisine de bistro le reste du temps.

La raclette: en manque de produits de la montagne, vous pouvez aller faire un tour ici. On n’y sert pas de vraie raclette (avec l’appareil à table) mais on y mange bien, notamment la tourte au chocolat en dessert, délicieuse!

Tiffany’s: malheureusement ce restaurant est excentré près de Côte-Vertu mais la variété de choix et la générosité des assiettes donneraient bien envie d’y revenir plus souvent. C’est un peu bruyant par contre…

Leméac: on a testé la formule à 22$-22h et on n’a pas prévu d’y retourner pour l’instant.

Chez Cora: chaînes qu’on trouve dans tout le Canada et qui permet à tout le monde d’être satisfait: amoureux des fruits, des céréales, des œufs, crêpes, etc.

Bagel, etc: le décor baroque est original mais le lieu est petit et les places rares…

Le petit resto du marché: seul brunch en buffet à volonté tester, l’endroit est garni de fleurs mais les choix un peu fades, et pas toujours très frais.

Fourquet-Fourchette: serveurs en costume d’époque et plats inspirés de la cuisine amérindienne mais la mayonnaise n’a pas pris pour nous… Leur buffet brunch est par contre paraît-il très bien….

L’avenue: à l’heure du brunch il faudra s’armer de patience pour s’engouffrer dans cette antre de la branchitude montréalaise. Au final on y déguste les meilleures pommes de terre de la ville (à mon goût) mais les prix sont plus chers qu’ailleurs et la musique plus forte aussi!

Atma: restaurant indien de la rue St-Laurent à tester une fois, ne serait-ce que pour son décor à l’étage, notamment si vous êtes à la table du fond, en groupe. Les prix sont par contre élevés.

Aix Cuisine du terroir: situé dans le Vieux-Montréal, la cuisine est bonne mais on paie le quartier avant de payer la recherche culinaire.

Dame Tartine: restaurant à brunch assez quelconque alors que cela fait partie des incontournables selon certains… Celui situé à Chambly m’a fait meilleure impression, notamment les œufs bénédictines délicieux…

La cantine: sans doute l’endroit qui propose des formules de brunchs toutes originales. On y déguste notamment des shooters de fruits/légumes de saisons. Par contre depuis 3 ans, la carte n’a pas évolué d’un iotat et quand on sait qu’il y a environ 4-5 choix, c’est un peu dommage!

La grand-mère poule: mon adresse de brunch préféré car malgré l’espace restreint on y trouve toujours de la place et que la pain à la banane y est délicieux.

L’ITHQ: fauché? allez faire un tour à l’Institut de Tourisme et d’hotellerie du Québec, du côté de la salle de réception des élèves. On y mange à 17h30 toute la semaine mais on ne peut pas trouver moins cher en ville pour une cuisine d’aussi bonne qualité.

La petite marche: c’est grand, bondé et bruyant à l’heure du brunch mais les pommes de terre sont très bonnes.

La montée de lait: on a testé ce restaurant quand il était encore près du métro Laurier et on avait vraiment bien aimé le principe. Depuis ils ont déménagé en centre-ville puis sont revenus sur le Plateau, rue St-Laurent. On y a alors testé le brunch, peu de choix mais tous délicieux!

Toi, moi et café: tout près du marché Atwater (mais aussi sur Laurier), on trouve cette petite place à brunch qui propose un choix énorme de café que l’on vous sert dans des cafetières Bodum si vous le souhaitez.

Fruits folie: le service était très mauvais ce matin-là, les œufs froids, les assiettes pas spécialement généreuses, du coup je n’ai jamais souhaité y retourner.

Cuisine et dépendance: la patronne est super sympa, le serveur (là depuis des années) passionné par son métier et les produits qu’il offre, les choix variés et les assiettes délicieuses. J’y ai mangé le meilleur saumon fumé de ma vie, fumé sur place. L’addition avec apéro et vin monte vie mais on ressort toujours comblé!

Casa Galicia: on y sert des paellas copieuses mais le lieu est un peu sombre pour une soirée joyeuse.

Le bistro du marché: niché près du Marché central, cette adresse dans un bâtiment industriel vaut le coup si vous êtes dans le coin. Sinon ça reste assez inaccessible, dommage on y mange bien pour pas cher.

Le petit Italien: concept de brunch style tapas, dommage que les choix soient si limités, les portions un poil petites et les prix un poil élevés!

Le tire-bouchon: situé à Boucherville, ce restaurant vaut la plupart de ces confrères Montréalais. Choix variés, prix raisonnables, la qualité est au rendez-vous mais les saveurs sont plus ou moins là selon les choix.

À Toronto

Le petit-déjeuner: situé au 191 King Street East, c’est l’endroit parfait où commencer la journée! Les assiettes sont copieuses et le service impeccable.

Terroni: restaurant italien au décor moderne dans lequel on mange de délicieuse pizza mais on paie le prix pour tout de même!

Korean Grill House: chaque table a son grill et pour 18$ environ on y mange à volonté la viande ou le poisson qu’on fait revenir sur son propre grill. Convivial et pas cher, le tout au 214 Queen Street.

À Paris

Le Sir Winston: tout près des Champs Elysées, le Sir Winston offre une formule de brunch en 3 services des plus copieuses! La nourriture est de qualité, le décor à voir mais les additions ne sont pas données.

Planet suhi: n’étant pas fan de sushi, si je devais en manger demain je retournerai dans ce resto, autant pour les makis chauds que ceux en dessert…

Le loup blanc: c’était une adresse de brunch incontournable du Marais jusqu’à ce que le service se dégrade… À retester de temps en temps pour voir sir cela s’améliore.

Le Loir dans la théière: hum, les mini viennoiseries, le chocolat chaud maison, les tartes… Tout y donne envie!

Petit Baïona: buffet à volonté pas mal (il y avait des crêpes et du nutella) mais comme toujours avec les buffets on a l’impression de manger moins « frais ».

À New-York

Pigalle: il ne faut pas vouloir y aller pour un brunch (en tout cas en semaine) car la carte est loin d’être exhaustive et les œufs-bacon sont servis avec des frites!