Mois : octobre 2008

Pralus à Paris!

praluline__Custom_.jpg Il a fallu que je quitte Paris pour que Pralus y ouvre une boutique, forcément!
Pralus c’est un pâtissier-chocolatier excellent qui est originaire de Roanne, chez moi.

Sa spécialité ce sont les Pralulines, des brioches aux pralines absolument délicieuses (qu’il décline également au chocolat, j’adore)!
Mais Pralus, c’est surtout un très grand chocolatier, c’est d’ailleurs un des trois seuls en France qui fait lui-même son chocolat à partir des fèves de cacao. Il a créé il y a quelques années une pyramide de chocolats, avec une tablette de différents pays et c’est incroyable de voir à quel point il y a une vraie différence de saveur entre chaque région d’origine.

pyramide__Custom_.jpg Bref, Pralus j’adore et maintenant qu’il s’installe à Paris, on peut toujours rêver qu’il traverse l’Atlantique un jour…
Si vous voulez vous faire votre avis, c’est au 35 rue Rambuteau dans le 4e. Je précise qu’il fait également des macarons (pour les amatrices) mais pour le coup je ne les ai jamais goutés.

Il y a aussi un livre à venir Cacao, vanille: l’or noir de Madagascar, avec de superbes photos et des recettes salées-sucrées…
Pour finir, c’est le Salon du chocolat à Paris jusqu’au 2 novembre, vous le retrouverez évidemment, pour ma part les seules années où je n’y vais pas, c’est justement quand je suis à Montréal sinon c’est un rendez-vous immanquable!

http://www.chocolats-pralus.com/

Et Vancouver alors?

vancouver.jpg
Puisqu’il était question de Vancouver il y a peu, j’en profite pour répondre à une autre question que l’on me pose souvent concernant mon expérience canadienne. Qu’ai-je pensé de cette ville de Colombie-Britannique?

Déjà il faut savoir que je n’avais pas prévu d’aller dans l’Ouest lorsque je suis venue en PVT. Je comptais bien rester à Montréal et tout faire pour trouver un emploi dans l’édition en vu de ma demande de résidence permanente. Puis au fil des semaines, Vancouver revenait de plus en plus dans les conversations et j’ai décidé de quitter mon appartement, de refaire mes valises 3 mois après être arrivée et d’aller voir par moi-même.

En arrivant à la fin de l’été, j’ai pu découvrir la ville sous un magnifique soleil et c’est vrai qu’avoir l’océan Pacifique à ses pieds et les Rocheuses en arrière-plan est quelque chose d’assez exceptionnel. Dans ces conditions la ville est vraiment belle, on peut se balader sur English Bay à la tombée du soir, aller pique-niquer sur une des plages de Kitsilano ou Jericho Beach, ou encore se perdre dans le Stanley Park. Le cœur de la ville a, quant à lui, beaucoup moins d’intérêt à part si on aime les buildings.

Cela dit, dès qu’arrive l’automne, et encore plus l’hiver, fini de plaisanter, c’est sous la pluie que vous vivrez à la vancouveroise, car il y pleut très fréquemment. Une des anecdotes que me racontaient systématiquement les locaux, c’est que l’hiver précédent il avait plu pendant 40 jours d’affilé, un record quasiment! Une fois que vous êtes prévenu, vous vous adaptez et vous investissez dans un bon parapluie!

Du côté professionnel, je dois dire que j’ai eu de la chance car j’avais deux agences de placement (Randstad et Miles) qui m’ont trouvé facilement des missions pendant les 5 mois que j’ai passé là-bas.
J’ai commencé par faire du classement (13.50$/h) pour un département de comptabilité et le job qui devait prendre 3 jours s’est transformé en 3 semaines, voire plus, à différents postes, au bout desquels on m’a proposé de me former pour être comptable! Vu mon amour pour les chiffres j’ai refusé et continué sur d’autres missions. J’ai fait un peu de réception, une fois même j’ai aidé une entreprise qui déménageait puis j’ai fini par faire de la saisie de donnés dans une compagnie d’assurance pour 15 ou 20 (ma mémoire me fait défaut) $ de l’heure.
Cela dit la vie étant assez chère à Vancouver, mieux vaut avoir un job relativement bien payé si vous voulez profiter de la ville et de la vie!

Le point le plus sensible de ma vie dans l’Ouest était les relations avec les gens. Le politiquement correct est poussé jusqu’au bout, on travaille beaucoup, on fait du jogging ou du yoga chacun dans son coin, on côtoie quelqu’un à l’accent étranger tous les jours sans prendre la peine de lui demander d’où il vient, bref c’est très « chacun pour soi ».
L’autre point qui m’a fait préférer Montréal est l’ambiance de la ville. Il n’y a pas cette impression de vie que l’on peut ressentir ici, les rues paraissent presque désertes.
Pour sortir les choix sont beaucoup plus limités, bien sûr il y a des bars, des pubs, des boîtes mais pas beaucoup de concepts originaux comme on peut en trouver à Montréal, et oubliez tous les festivals qui raisonnent chaque semaine ici, la vie est plate dans l’Ouest!

À toute fins utiles, je rappelle que ceci n’est que ma perception des choses et qu’en aucun cas je regrette d’avoir passé plusieurs mois à Vancouver. J’ai vu par moi-même, je suis ravie d’avoir tenté l’aventure là-bas mais ce n’était tout simplement pas une ville pour moi.

L’homme descend du char

J’ai horreur des voitures (chars en québécois). Pour moi quand on habite dans une grande ville c’est juste un objet encombrant qui ne sert quasiment à rien.
Cela dit, il faut bien avouer que si l’on veut partir en week-end, ou simplement se balader une journée en dehors de la ville sans s’y prendre à l’avance, ça peut tout de même s’avérer utile. Et puis les Costcos se trouvent en dehors de Montréal et au Costco on vent des paquets de M&M’s de 1 kilo pour trois fois rien!

Du coup, depuis quelque temps, la bataille fait rage avec Chéri pour savoir quelle voiture acheter au printemps prochain. Moi je veux quelque chose de compacte, qui se gare facilement (parce que les créneaux c’est pas mon truc), qui n’est pas trop large (car j’ai une mauvaise perception des gabarits) et qui ne consomme pas trop car je suis une radine écologiste!
Sauf que Chéri veut « se faire plaisir » et que ça passe par une voiture qui n’est pas celle de Monsieur tout le monde (exit la Mazda 3), qui a « quelque chose dans le moteur », comprendre 250 chevaux ou rien, dont l’intérieur ne fasse pas cheap et avec des options type toit ouvrant, sièges chauffants, démarreur à distance, caméra de recul (paraît que c’est pour m’aider MOI à me garer), et tout un tas d’autres que j’oublie.
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Chéri voulait donc un monstre, un CX7, puis à force de discussion il s’est rabattu sur des berlines du type de la nouvelle Mazda 6 ou la Nissan Maxima. Sauf que moi je les trouve chères, grosses et, argument ultime, pas pratique pour le chien vu que le coffre n’est pas à haillon!
Ah ah! L’argument imparable, je vous jure!! Ainsi, pour l’instant on se dirige vers une Mazda 3 Speed-je-sais-pas-quoi car elle a un coffre à haillon, n’est pas trop grosse ni trop chère et surtout elle fait 250 CV! Par contre, c’est une voiture sport donc elle a un aileron et des sièges à baquet, de quoi faire nos Jacky, je suis ra-vie!

Il paraît qu’il va falloir que je me rende au salon de l’auto cet hiver pour voir ça de plus près ou peut-être trouver un autre modèle qui nous conviendra à tous deux, en sachant que les américaines sont exclues car selon Monsieur elles n’ont rien dans le moteur mais consomment beaucoup. Tout l’art de réduire les choix mais au moins Chéri a promis que j’aurais le droit de choisir la couleur!

Delayed

avion.jpg Dans la série « j’ai de la chance« , je demande ceux qui voyagent gratuitement sur les compagnies aériennes.
Mon chéri en fait partie, tout ça parce que sa mère travaille chez Air France. Jusqu’à ses 26 ans (oui je sors avec un petit jeune) il a le droit à des tonnes d’avantages sur Air France, tout comme ses frères et sœurs (malheureusement ça ne s’étend pas aux petites amies).

C’est ainsi que son frangin avait prévu de passer la semaine de la Toussaint à Montréal pour chercher un stage (c’est sa 3e visite, la dernière remontant au mois de juillet) pour l’été prochain. Sauf qu’avoir des billets pas chers ne garantit pas de monter dans l’avion!
Il avait prévu d’arriver samedi mais il n’a pu embarquer sur aucun des 3 vols de ce jour! Tout ça parce qu’environ 50 autres personnes bénéficiant des mêmes avantages voulaient embarquer pour Montréal le même jour et qu’apparemment il n’y avait pas assez de places libres pour tout le monde!

Il faut savoir que cela marche par paliers. R1, vous avez payé votre billet d’avion environ la moitié du prix et ainsi vous avez vraiment réservé votre place, vous êtes sûrs de partir. R3 vous avez payé pour être prioritaire sur les R2 mais rien ne garantit que vous aurez une place. Et enfin les R2 ont payé le billet une misère (60 euros je crois pour Montréal-Paris) mais passent en dernier… C’est ainsi que malgré un R3, le frère de Monsieur a perdu sa journée à Roissy pour rien! Heureusement il a pu embarquer à la dernière minute sur un vol le dimanche mais il était trop tard pour sa valise, qui, elle, est restée derrière!!

Le résultat, c’est que c’est moi qui en pâtit vu qu’au lieu d’avoir mes Princes comme prévu samedi, je ne vais les avoir que jeudi (entre temps je redécouvre mon appart)!! Tout ça pour économiser quelques sous, non mais franchement?! 🙂

Ma madeleine à moi

taco.jpg Vendredi dernier je suis passée devant un Taco Bell (un fast food tex-mex), ce qui est rare à Montréal car à ma connaissance il n’y en a pas en centre-ville. Si je vous parle de ça c’est parce que ça m’a fait un drôle de flashback vu que j’ai mangé une seule et unique fois dans cette enseigne et que c’était très exactement le 5 septembre 2006.

road.jpg Pourquoi je m’en souviens si bien? Parce que deux jours plus tôt j’étais montée dans un bus à Montréal à destination de Vancouver, soit à 4500 km de là. Ce dernier-jour, le 5 septembre, il faisait un temps magnifique et l’on traversait les Rocheuses. Peu avant la tombée du soir et l’arrivée à Vancouver, on s’est arrêté une énième fois et on en a profité avec ma copine Géraldyne pour filer au Taco Bell du coin. Je me souviens que l’on a mangé nos burritos sur une petite colline, en contemplant la route et en se demandant ce qui allait se passer ensuite. Comment allait-on trouver Vancouver après 3 mois d’été fantastiques passés au Québec? Allait-on être à l’aise dans une ville anglophone? Allait-on se faire des amis? Trouver un travail? Autant de questions qui ne nous empêchaient pas d’être pleine d’impatience et d’avoir hâte d’arriver.

On est arrivé à Vancouver vers 21h, la nuit était tombée et un ami de Montréal nous attendait à notre descente du bus pour nous amener chez lui pour quelques jours. Je ne vous raconte pas le bonheur de retrouver une douche, de la cuisine maison avec des légumes frais et surtout un lit après 3 jours/3 nuits passés dans un bus. On a ouvert grand les yeux et le chapitre vancouverois de notre PVT a commencé…
Passer devant l’enseigne Taco Bell la semaine dernière a fait remonter tout ces souvenirs en mémoires, comme quoi ça tient à peu de choses parfois, à un fast food ou à une madeleine.

La petite marche

petite_marche.jpg Depuis pas mal de temps, quand le mot « brunch » apparaissait dans une conversation, on me citait systématiquement La petite marche, un des rares brunchs du Plateau que je n’avais jamais testé. C’est maintenant chose faite et je dois avouer que c’est un endroit bien sympathique.
Toutefois le restaurant étant relativement grand et toujours bondé, c’est un peu l’usine, du moins dans le sens où il y a pas mal de bruit et de passage.

Cela étant, les prix sont tout à fait abordables (9$ avec taxes et tips pour des œufs-bacon) et chaque choix vient avec fruits frais, deux tartines de baguettes italiennes, des pommes de terre et un petit verre de jus d’orange. À noter que le jus en question n’est pas un jus frais et pressé mais un jus en brique, dommage.
On m’avait beaucoup parlé des pommes de terre, qui sont effectivement délicieuses et fondantes, mais une portion un peu plus généreuse n’aurait pas été de refus.
Par contre, pour 5-6$ (avant taxes), vous pouvez avoir un grand verre de jus de fruits pressés délicieux, j’ai goûté pour ma part celui à la poire, qui était parfait.

En résumé, si on a rien contre le fait de se sentir bien entouré, La petite marche est une adresse sympa, à retenir pour la baguette italienne et les pommes de terre. C’est situé sur St Denis coin St Joseph, il y a même une terrasse pour les matins ensoleillés.

C’est bien Montréal?

Montreal_By_Night__Custom_.jpg
Parfois je reçois des mails (adorables) de personnes qui désirent s’expatrier à Montréal ou au Canada et qui recherchent des informations. Si je n’ai pas vocation à faire bureau des renseignements, je dois bien avouer que moi-même j’ai fait la même démarche vis à vis d’une blogueuse montréalaise il y a de ça 4 ou 5 ans… Du coup, je peux difficilement en vouloir à ceux qui tentent leur chance de cette manière.

Pour être concise, voici ce que je pourrais leur répondre. Vivre à Montréal est pour moi l’idéal car c’est une grande ville qui ressemble à un petit village. On peut aller bruncher un dimanche matin à « l’autre bout du monde » comme dirait Monsieur mais revenir à pied sous le soleil, en une petite heure. On peut sortir en boîte en centre-ville et rentrer à pieds à 3h du matin, tout en allant le lendemain se balader le long du Canal Lachine, qui est à 2 minutes à peine. Ainsi, on est en centre-ville, tout en étant quasiment à la campagne.

Et puis vivre ici, c’est vivre entouré de québécois, c’est-à-dire de gens décontractés, beaucoup moins stressés que n’importe quel français et qui prennent (dans l’ensemble) le temps de vivre, de faire des activités en sortant du travail. Faut dire que beaucoup de jobs sont des 9h-17h et ça franchement ça change la vie! À 17h tapante, beaucoup de gens quittent leur poste, si ce n’est àn16h ou 16h30, ce qui fait que les heures de pointe dans le métro sont plus de l’ordre de 16h-18h que 18h-20h comme en France.

Quand aux loyers, j’en avais déjà parlé à propos de mon appartement mais ça fait toujours plaisir de le rappeler: ils sont beaucoup moins élevés que chez nous, notamment qu’à Paris. Un 4 et demi (donc 2 chambres) peut coûter 800$, soit 500 euros facilement. La carte de transports en commun, quant à elle, vous coûtera 66$ soit 40 euros environ. En bref, le coût de la vie est moins élevé.

Cela étant, les emplois sont-ils mieux payés? Pour un job de standardiste, je suis payée généralement 15$/h minimum (9.5 euros) et pour les postes permanents les annonces tournent autour de 35 000-45 000/an selon l’expérience et si vous êtes bilingue…
Admettons qu’avec un job moyen vous touchiez 1800$/mois après retrait des taxes, une fois le loyer payé (le mien est de 600$), il vous reste 1200$. À cela on enlève 20$ d’assurance logement, 50$ de cellulaire, 30$d’Hyro (électricité) 66$ de métro, il reste 1034$. Pour la nourriture, comptons 300$ par mois, soit 75 par semaine, ce qui me semble pas mal, et on obtient 734$ pour les loisirs soit 460 euros (3000 Francs)… C’est pas énorme mais en même temps quand on gère bien son budget c’est largement suffisant pour ne pas se priver.

Tout ça pour dire que Montréal n’est pas l’Eldorado mais que moi ça me convient parfaitement, la preuve, même sans travail, j’arrive encore à me faire plaisir et à ne pas trop me priver (ne me parlez juste pas de fringues, svp!).

Quelques films

Avec la reprise des séries et l’apparition de la Wii, je vois moins de films en ce moment. Mais voici la liste des plus récents pour vous donner une idée:

girl-next-door.jpg The girl next door: arfff, petite comédie qui se laisse voir mais vraiment sans passion. Une jeune fille emménage à côté de chez un ado (Emile Hirsch d’Into the wild!) qui va vite craquer pour elle. S’en suivent une série de péripéties parfois tirées par les cheveux ou juste insipides. Dispensable.

sans_sarah.jpg Forgetting Sarah Marshall (Sans Sarah rien ne va): Veronica Mars (Kristen Bell), Marshall (Jason Segel), j’avais forcément envie de voir ce film et pourtant j’ai somnolé quasiment tout le long! D’abord, je l’ai vu en version canadienne ce qui n’est jamais ma préférence mais au-delà de ça j’ai trouvé l’histoire relativement convenue, l’humour pas très présent et les acteurs pas super crédibles. Il faut dire que je connais ces acteurs par cœur dans leurs séries respectives (Veronica Mars, Heroes pour Kristen Bell et How I Met your mother pour Jason Segel) et que j’ai un peu de mal à ne pas voir leurs personnages… Bref, c’est une comédie romantique qui se laisse voir mais qui s’oublie aussitôt.

illusionist.jpg The Illusionist: ah quel dommage que ce soit si prévisible! On veut nous faire croire quelque chose mais à aucun moment je n’ai eu de doute sur la dite chose (notez comme il est dur de ne rien révéler!), ce qui en gros revient à enlever une bonne part de l’intérêt du film. Cela dit Edouard Norton est comme toujours fantastique, le costume d’époque par contre ne va pas forcément bien à la pintade (oups) Jessica Biel! Mais si vous aimez la magie, alors vous y trouverez sûrement un intérêt.

married_life.jpg Married Life: l’histoire d’un homme ordinaire d’un certain âge qui décide de tuer sa femme plutôt que de lui avouer qu’il veut la quitter pour une autre (Rachel McAdams) et ainsi lui briser le cœur. En parallèle, son meilleur ami (Pierce Brosnan) tombe amoureux de sa maîtresse et compte bien éviter que le couple puisse être réuni. C’est assez intéressant dans le traitement de l’intrigue, qui n’est pas tout à fait aussi convenue que l’on pourrait s’y attendre, et le suspens allié aux quelques notes d’humour est appréciable.

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Made of honor (Le témoin amoureux): enfin une comédie romantique qui tient à peu près ses promesses! C’est bel et bien romantique, il y a un poil d’humour, des acteurs pas mal (Michelle Monaghan et Patrick Dempsey alias Mc Dreamy) et surtout de magnifiques paysages de l’Écosse. Après ça n’est pas non plus le film de l’année, rien de vraiment nouveau sous le soleil des scénarios tamponnés « histoire d’amour » mais au moins ça nous fait voyager 1h30.

Première neige

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Nous sommes le 22 octobre et j’aperçois les premiers flocons de l’année. Pour être tout à fait honnête, ils se distinguent à peine sur le ciel gris, et la chaussée humide porte à croire que la pluie est responsable mais non, il s’agit bien de maigre flocons.
Si les rues enneigées ne sont pas pour tout de suite, c’est impressionnant de voir à quel point le temps a changé en peu de temps. Ce week-end on avait un grand soleil, des températures avoisinants les 10° et maintenant on nous annonce -3° en ressenti et de la neige! Heureusement ça ne va pas durer, il devrait faire 15° dimanche.

3 fois Wii

En ce moment je n’ai pas beaucoup de temps à consacrer aux blogs, non pas à cause de mes recherches d’emploi mais à cause de ma nouvelle addiction: la Wii! La dernière fois que j’étais autant à fond sur des jeux, c’était à Pang sur Atari 520 STE! Oui M’sieurs dames, ça remonte à des lustres!
Cela dit je jouais à Pang avec ma cousine, on était complètement en délire, se récompensant de Delichoc quand on arrivait à finir un tableau! C’est peut-être de là que sont venus mes premiers kilos en trop si ça se trouve!

nunchuk.jpg Anyway, maintenant c’est à Mario Kart que j’essaie d’exceller mais ce n’est pas encore tout à fait ça. On a commencé par jouer juste avec la manette, en la tenant comme un volant, mais c’était super dur! Du coup, on a investi dans un 2e Nunchuk pour piloter plus facilement! Le problème c’est que mon chéri jouait déjà à Mario Kart sur ses précédentes consoles et donc qu’il connaît les circuits par cœur! Comment je suis censée rivaliser moi?! En m’entrainant la journée quand il est au travail!! Les résultats ne se font pas encore sentir mais j’ai bon espoir, un jour, de le battre…

L’autre jeu qui nous passionne, c’est le golf! Alors que dans la vraie vie ni l’un ni l’autre n’a déjà pratiqué, à la Wii on connaît par cœur le golf du Wii Play , c’est pourquoi on a aussi Tiger Woods PGA tour 08, We love golf et Super Swing Golf!! Si avec ça on ne devient pas des pros pour l’été prochain, c’est à n’y rien comprendre!!

cerebrum.jpg Par contre, pour les soirées entre amis, c’est Cerebrum qui nous éclate! Des questions de connaissance générale, de la rapidité et des petits jeux type tire à la corde qui viennent pimenter tout ça, c’est pas mal du tout, on s’amuse bien!

Avec tout ça, vous comprenez bien que je ne puisse pas m’attarder plus sur le web, j’ai des records à battre, moi!