Dieu, we have a problem!

phone.jpg Mardi 12 février, j’écrivais:
Seigneur, faites que je retravaille un jour!

Mercredi 13 février, j’écrivais:
J’aime pas le téléphone, je préfère de loin les mails

La bonne nouvelle c’est que Dieu existe, la mauvaise c’est qu’il ne travaille qu’un jour sur deux!

Comment je le sais? Très simple…

Mardi il a entendu que j’avais désespérément besoin d’un travail, mercredi il glandait (ou faisait la sourde oreille au choix) et jeudi il m’a dégoté un job intérimaire d’un mois (la grande classe) de PHONING, la galère!!
Moi qui déteste le téléphone, je suis condamnée à passer mes journées à appeler des entreprises pour savoir si elles comptent se rendre à tel endroit pour tel événement. Je vous passe les détails, vous avez compris le gros du job… et du problème!

Heureusement je n’ai rien à vendre en tant que tel (je n’aurais pas accepté), c’est juste de la prise de renseignements mais ça n’empêche que c’est très chiant et que les journées paraissent interminables!

Je passe la moitié du temps regarder l’heure et l’autre moitié à m’empêcher de regarder l’heure!
Entre les deux, de temps en temps, je lis mes mails et mes liens Netvibes mais comme je suis censée être au téléphone à longueur de journée, forcément c’est pas le plus pratique.

Ce que j’aime bien par contre, ce sont mes horaires, 9h-17h, c’est vraiment agréable, J’ai l’impression que la soirée est tout de suite plus longue qu’en finissant à 18h…

Non tout le monde n’aime pas le café, le thé, le coca ou le champagne!

coffee_poster.jpg J’ai un gros problème dans la vie, je n’aime ni le café, ni le thé, ni les sirops, ni le coca, ni rien qui pétille*.

Voilà vous savez tout!

Ça paraît anecdotique comme ça mais en fait ça ne l’est pas, et ça pose même un vrai problème « en société ». Parce que les gens ils ont toujours du coca ou du café mais alors pas toujours du jus d’orange, allez comprendre pourquoi!
C’est comme ça qu’il m’est arrivée plusieurs fois à l’apéro de « tourner » à l’eau parce qu’il n’y avait rien à boire que j’aimais! Tout comme j’apprends à boire du thé ou du café sans faire trop de grimaces quand on m’invite à un « goûter » et qu’il n’y a pas d’autre choix de boisson.
À tous les coups si je dis quelque chose, je passe pour la chieuse qui n’aime rien (ce qui n’est pas faux), limite pour une malpolie et les gens me regardent avec condescendance « oh bah même pas une petite goutte de coca??« . Et bah non!

Pareil, quand vous avez rendez-vous dans un café et que vous n’avez pas envie de payer 4 euros le jus d’orange dégueu, vous faites comment? Et bah vous faites rien car vous n’aimez ni le café ni l’eau gazeuse… Vous êtes donc condamné à payer 4 euros pour un jus d’orange ou alors vous pouvez boire un chocolat chaud, le prix devrait être le même, mais franchement les chocolats chauds des cafés sont quand même particulièrement pas bons et sucrés.

Et puis ce « problème » est frustrant car moi-aussi je voudrais me trimballer avec mon gobelet Starbucks* fumant à la main, faire hype quoi! Bon bah là il est vide, c’est hype aussi tant que personne ne s’en rend compte et au moins, je ne risque pas de me tâcher en courant après mon bus!

Dans le même registre (hmm presque quoi), en hiver, j’aimerais être chez moi avec un bon thé bien chaud au coin du feu, en bouquinant, parce que le thé est quand même moins calorique que son cousin le chocolat chaud… Ou boire une tisane qui fait dormir avant d’aller se coucher, ou une qui fait maigrir avant l’été, ou… Enfin vous avez compris l’idée. Mais non, tout ça je peux pas, j’aime pas…
D’ailleurs ça me pose aussi un problème vis à vis des régimes car systématiquement on vous dit « commencez par réduire votre consommation de soda », bah oui mais moi j’en bois déjà pas!! C’est des kilos facilement perdus que je ne peux pas perdre, vu que, déjà à la base, je ne bois aucune cochonnerie de ce genre. Et c’est pas mes Innocents qui rentreraient dans cette catégorie, faut pas déconner!

coffee.jpg
* en fait il y a un truc qui pétille que j’aime c’est les Smirnoffs ice parce que les bulles ne piquent pas trop (et parce qu’il y a de la vodka dedans).
** en vrai je boycotte Starbucks depuis un faux plan à Vancouver mais s’il y avait des Second cup en France, je voudrais me trimballer avec mon gobelet Second cup!

Post-week-end décousu

we.jpgJe reviens d’un petit week-end chez mes parents le temps de me faire dire par mon oncle et ma tante que j’avais maigri, youhou!! Et le temps de faire le plein de bonnes choses cuisinées par maman, histoire de repartir avec 2 kilos de plus, moins youhou! Mais ça valait le coup…

  • Le train corail ça coûte moins cher que le TGV mais alors qu’est-ce que c’est long! En plus, il y fait encore plus froid que dans le TGV, c’est à peine croyable! Nez rouge tout le long, heureusement on était pas dans une place à 4.

  • Dans les anecdotes rigolotes, mon frère s’est fait assommer par ma pochette d’ordinateur, mais comme c’est lui qui l’avait rangé au-dessus, il n’a pu s’en prendre qu’à lui-même (grand moment)! Et puis s’il faisait comme tout le monde et se contenter de regarder des séries dans le train plutôt que des films, il n’aurait pas été obligé de ranger son Archos à 5 minutes de la fin de We own the night!! Ah ah! Ça lui apprendra à regarder ça sur un Archos et en plus en VF! Mais merci pour les billets de train par contre!

  • Mauvaise surprise en rentrant à la maison ce soir, le frigo est vide, les placards aussi! Ma bonne aurait-elle oublié de me préparer un bon petit plat ou au moins de faire les courses? Mince, j’ai pas de bonne, c’est moi qui ait merdé pour les courses!

  • Sinon, c’était mes premières nuit sans ma bouillotte depuis que je l’ai récupérée, et Oh My God, que c’était dur! Première nuit, je pensais que ma couette et la couverture rajoutée par-dessus suffirait, au bout de 5 minutes je suis allée chercher mon tigre blanc et noir géant (en peluche au cas où vous ayez eu un doute) pour m’en faire un édredon pour les pieds! Deuxième nuit la même chose avec des chaussettes en plus!
    Morale: je ne sais pas comment j’ai pu vivre sans bouillotte pendant toutes ces années. Morale 2: ne plus jamais partir en week-end sans elle!

  • Ce midi, je regardais le programme télé, un vieux réflexe, et je me suis rendue compte que la Nouvelle Star reprenait cette semaine avec le nouveau jury (qui a l’air pourri mais quand même…) et que, oh dommage, ma télé est TOUJOURS en panne! Cela dit, ne faisant absolument rien pour que cet état change, je ne vois pas de quoi je me plains… Mais quand même quoi, j’aime bien la Nouvelle star moi!

Sur ces considérations, je vais regarder l’épisode 3 de la 4e saison de Lost que je n’ai toujours pas vu… histoire de bien dormir cette nuit avant le début de ma nouvelle mission demain, youhou… (l’enthousiasme était absent de ce dernier youhou)

Into the wild

Into the wild Parmi tous les films vus dernièrement, c’est clairement celui que je retiendrais mais il m’est difficile d’en parler sans être impudique, tant il m’a profondément émue.

Depuis très longtemps, je rêve d’ouvrir les yeux et de ne rien voir à perte de vue qu’une nature sauvage, sans contamination humaine. C’est peut-être pour ça qu’Into the wild a résonné en moi avec une telle force.
Tiré d’une histoire vraie, d’autant plus tragique, ce film raconte comment Christopher McCandless, 22 ans, a un beau jour tout quitté pour partir sur les routes à la poursuite de son objectif: l’Alaska.
On retiendra l’aventure humaine au gré des rencontres qui marqueront son voyage, et bien sûr la nature, personnage à elle seule, époustouflante à maintes reprises. Elle ferait rêver si elle ne se refermait pas comme un piège sur le héros, alors même que lui ne demandait qu’à vivre en communion avec.

À plusieurs moments, les larmes montent aux yeux, on vit tout avec Chris (Emile Hirsch), personnage jusqu’au boutiste, devenu Alex Supertramp en chemin, tout en partageant la douleur de sa famille, laissée sans nouvelle.
Je lisais la critique de Paris match qui écrivait que c’était une « rafraîchissante bouffée d’oxygène » alors que j’ai eu le sentiment, au contraire, de me noyer sous les efforts vains du protagoniste pour finir épuisée, voire lessivée par ces 2h30 de film.

Into the wild est un film d’autant plus perturbant qu’il est tiré d’une histoire vraie, de quoi ressasser le destin du protagoniste encore longtemps après avoir quitté la salle.
Je suppose que j’aurais pu préciser qu’il était réalisé par Sean Penn, mais à quoi bon?

Blind Test de la semaine!

blind_test.jpg

Illustration: Technikart

Cette semaine pas une chanson mais quatre! Par contre, comme le titre du billet l’indique, histoire de pimenter un peu les choses, à vous de découvrir les interprètes et titres des chansons. Sans triche on s’entend, de toute façon ce n’est pas très dur!
Notez que j’ai failli faire une thématique spéciale Saint Valentin avec musique à l’eau de rose mais finalement c’est un peu plus rock que ça… Je vous laisse découvrir le tout, j’éditerai mon post avec les réponses à la fin.

EDIT du 19/02: c’est l’heure des réponses!

arctic.jpg Premier titre: When the sun goes down des Arctic Monkeys, groupe de rock (ah bon??) anglais qui a fortement cartonné en 2006-2007 avec leur album Whatever People Say I Am, That’s What I’m Not. On y retrouve de très bons morceaux, tels que I bet you look good on the dancefloor et Mardy bum.
Ils ont sorti un nouvel album en avril 2007 mais je ne l’ai pas encore écouté (honte sur moi)…
En attendant, leur myspace: www.myspace.com/arcticmonkeys

dandywharols.jpg Il fallait trouver Get Off des Dandy Warhols, groupe américain qui fût le temps de Dig!, à l’affiche d’un documentaire avec un autre groupe: The Brian Jonestown Massacre. Les Dandy Warhols existent depuis pas mal de temps déjà mais la reprise d’un de leur titre pour le générique de la (très bonne) série Véronica Mars, We used to be friends, n’a fait qu’augmenter leur visibilité. Dans les titres à retenir, hormis ces deux-ci, il y a Bohemian like you.
Leur myspace: www.myspace.com/thedandywarhols

feist.jpg Seule fille de ce blind test et aussi seule artiste reconnue dans les commentaires, Feist! Ce morceau, Mushaboom, est extrait de son premier album qui est très, très réussi, Let it die. Bien sûr aujourd’hui tout le monde connaît 1, 2, 3, 4 de Feist grâce à la pub de l’Ipod mais il y avait une vie et surtout un album avant ça! Ne le manquez pas, limite il est mieux que le second!

dylan.jpg Pour finir, j’ai été un peu (beaucoup, beaucoup) surprise que personne ne trouve cet artiste parce que bon, quand même quoi! Il s’agissait donc de Bob Dylan, et de la superbe chanson Blowin’ in the wild dont je ne me lasse pas de la première phrase:
« How many roads must a man walk down
Before you call him a man? »

Message à caractère viral

Alors que je viens de programmer mon billet de ce soir, je m’aperçois que j’ai été taguée par Mam’Zelle Yoko pour faire suivre une chaîne, et accessoirement révéler 6 choses sur moi. Si j’avais su, j’aurais gardé mes manies du réveil pour ça! Je me demande surtout comment je vais trouver 6 personnes à qui refiler le bébé sans qu’elles n’aient déjà été taguées avant?!

Les règles sont simples (encore heureux!):
– Mettre le lien de la personne qui vous tague
– Mettre le règlement sur votre blog
– Mentionner 6 choses/habitudes/tics importants sur vous-même
– Taguer 6 personnes à la fin de votre billet en mettant leur lien
– Avertir immédiatement sur leur blog les personnes taguées

  • J’adore errer en pyjama la journée (tout l’intérêt d’être célibataire et sans emploi!)
  • Je ne finis jamais un repas sans une touche sucrée ou un yaourt
  • J’englobe toujours dans « yaourt » ce que je devrais appeler « dessert » type mousse au chocolat, liégeois pour me donner bonne conscience.
  • Je peux faire la tête facilement, sur une toute petite contrariété
  • Je ne marque jamais les pages des livres que je lis. Je les referme en mémorisant le numéro de page et quand je les rouvre je passe 10 ans à rechercher la bonne page, puis la bonne ligne!
  • J’aime pas le téléphone, je préfère de loin les mails, ce qui me vaut de m’éloigner de mes amies.

Sur ces entrefaites, il faut que je tague 6 personnes alors allons-y!

Kriss
Marlène
Carinette
Clyne
Anaïs
JS

De bon matin…

reveil.jpg Ce matin j’ai été réveillée à deux reprises par des textos alors qu’il n’était même pas 9h! Non mais où va le monde franchement? Le pire c’est que l’un d’eux était d’Orange, tout ça pour me dire que j’avais le droit à l’option Monde gratuitement! Super, c’est exactement ce qu’il me fallait pour me réveiller dans la bonne humeur!
D’autant que j’ai programmé mon téléphone pour qu’il bippe toutes les 2 minutes jusqu’à ce que je lise les nouveaux textos et que ce matin il a bien dû me falloir 10 minutes pour réaliser d’où venait ce drôle de bruit.

Heureusement le deuxième texto était beaucoup plus sympa mais il ne m’a pas empêché de me rendormir… Je suis incorrigible, je sais! Faut dire, j’ai quelques manies liées au réveil…
La première c’est que si je demande à être réveillée à 9h j’ai une parfaite horreur qu’on me réveille à 8h58, voire 59 (chez mes parents par exemple)! C’est psychologique, on est bien d’accord, mais si mon réveil indique 8 dans la case des heures c’est qu’il n’est pas 9h donc que c’est trop tôt, logique imparable n’est-il pas?!

Ma seconde manie consiste à ne jamais programmer mon réveil à heure ronde (les quarts d’heure et demi-heure étant considérés comme ronds).
Quand je travaille (Seigneur, faites que je retravaille un jour!), le dimanche soir je programme mon réveil à 7h49, le mardi je passe à 7h51 vu que j’étais en avance le matin, le mercredi à 7h52 pour la même raison, le jeudi à 7h53 parce que je suis crevée et qu’une minute de plus me fera le plus grand bien, et le vendredi généralement j’oublie de mettre mon réveil…
Quoiqu’il en soit, pour une raison obscure, j’ai horreur de mettre mon réveil à 7h50 ou 8h, j’ai l’impression de perdre des minutes de sommeil en arrondissant alors qu’au fond ça ne change pas grand chose….

En même temps, je me demande à quoi ça serve que je mette mon réveil vu que de toute manière je suis systématiquement en retard.

Mini baignoire, maxi effort

baignoire Cette semaine, alors que j’étais terrassée par un horrible virus (un rhume), j’ai entrepris l’expérience la plus périlleuse de ma jeune vie (oui oui)… prendre un bain dans ma mini-baignoire!

Or donc mercredi soir, pendant que je vous comptais les symptômes de ma maladie, j’étais tremblotante de fièvre derrière mon écran (comme quoi rien ne m’arrête) au point de finir par me traîner sous la douche pour tenter de calmer les frissons à grand coup d’eau chaude.
Je dis douche mais en fait c’est une baignoire-sabot ou plus exactement une mini baignoire-sabot! Si vous enlevez les bords montants, je pense que niveau surface ça équivaudrait à peu de chose près à une petite cabine de douche engoncée entre 2 murs!

L’eau chaude (bouillante) c’est sympa mais le robinet à balader un peu partout pour justement avoir chaud un peu partout c’est chiant au bout d’un moment, surtout que dans ce cas-là j’en mettais partout pour éviter d’atteindre mes cheveux (magnifiquement brushés la veille). Du coup, prise par une envie soudaine, j’ai tenté le tout pour le tout et j’ai entrepris de remplir ma mini baignoire d’un maximum d’eau, histoire de barboter…

Déjà ça a pris plus de temps que l’on ne pourrait s’imaginer pour un si petit objet, me laissant mourir de froid pendant l’opération. Quand enfin ce fut fait, il a fallu trouver une position pour m’immerger au maximum, c’est là que j’ai regretté ne pas avoir pris l’option contorsionniste à la naissance!
Y avait pas 36 solutions, c’est donc les fesses dans le talon du sabot (dans le creux quoi) que les choses paraissaient le plus adéquat. Sauf que ça impliquait d’avoir le truc rond qui sert à fermer le fond de la baignoire dans le dos! Très confortable vous l’imaginez! Ma mini baignoire devant faire 60 cm de large, se mettre de côté n’étant pas franchement mieux…

J’ai quand même réussi à barboter dans mon sabot pendant suffisamment longtemps pour retrouver une température corporelle normale. Par contre, je n’avais pas réfléchi à ma sortie dudit objet et ça a été toute une aventure! Parce que du coup, les fesses dans le creux et les jambes croisées sur la partie plus haute, bah je n’arrivais plus à m’extirper de ma baignoire! Ou plutôt j’ai réussi en créant un raz-de-marée, répandant de l’eau dans à peu près toute ma salle de bain (qui doit bien faire 2 m2) et en manquant glisser à 4 reprises! Fallait vraiment que j’ai envie d’un bain ce soir-là!

Californication

CalifornicationDiffusée cet été sur Showtime (câble US), j’avais entendu des critiques mitigées sur la nouvelle série de David Duchovny (X-Files), Californication. Puis ces dernières semaines, j’ai lu de bons avis sur différents blogs , notamment chez Carinette, ce qui m’a décidé à m’y mettre.

L’histoire
Hank Moody (David Duchovny donc) est un auteur sulfureux à succés mais en panne d’inspiration depuis plusieurs années déjà. Son ex-compagne, dont il est toujours épris, est sur le point de se marier à un type somme toute banal, ce qui ne l’aide pas à aller de l’avant. On suit les débauches du personnage principal qui tourne à l’alcool et aux drogues autant que sa quête du bonheur, qui passe par la reconquête de son ex, et ses réflexions sur la vie, les gens, l’honnêteté…

Avis
12 épisodes de 25 minutes pour cette première saison qui a le mérite d’avoir de très bons acteurs (hormis Becca, insupportable). Le sujet par contre n’a rien de très novateur mais heureusement les personnages sont attachants et Duchovny très sexy comme le soulignait Carinette.
Cette série est tout de même l’une des rares dont la fin de la saison pourrait être la fin de la série tant l’impression que tout est achevé et bien en place au dernier épisode est forte! Pour le coup, la série a quand même été renouvellée pour une 2e saison donc on verra bien ce que les scénaristes ont prévu…

Je m’étonne tout de même de suivre de plus en plus de séries diffusées sur le câble US où drogue, sexe, alcool sont mis en scène de façon extrêmement réaliste et/ou trash alors qu’en même temps ABC vient d’être condamnée à payer une amende de 1.4 millions de dollars pour avoir montrer une femme nue dans NYPD Blue en 2003! Dans ladite scène de 40 secondes, la femme rentrait ou sortait (je ne sais plus) de la douche… Choking!
Vive l’Amérique puritano-trash!