pancol.jpg S’il on jugeait un livre d’après le temps qu’on le garde en tête une fois la dernière page tournée, La valse lente des tortues serait assûrément considéré comme bon pour ma part. Ce roman de Katerine Pancol fait suite à Les yeux jaunes des crocodiles, sorti il y a déjà plus de 3 ans et qui avait rencontré un grand succès. Ayant moi-même lu ce roman il y a déjà longtemps je ne me souviens plus exactement de ce que j’en avais pensé. D’après mes souvenirs, il me semble que j’avais aimé mais qu’en même temps je lui avais trouvé des défauts (lesquels, ça c’est une autre histoire!).

Avec la suite, j’ai d’abord eu un peu de mal à me mettre dans l’histoire, essentiellement parce que je ne me souvenais plus de qui était qui ou faisait quoi parmi toute la série de personnages… Mais une fois rentrée dans l’histoire, qui à l’instar du premier comporte une intrigue policière, je me suis mise à dévorer de plus en plus vite les pages. J’ai d’ailleurs passé tout mon dimanche à ça car je voulais absolument connaître la fin! Et une fois fait je n’ai cessé de me répéter « C’est horrible, c’est horrible »…

Ce roman m’a donc emballée et s’il existait une suite, je l’achèterais tout de suite car les dernières pages me restent encore en tête…