Mois : juin 2009

Vieux d’ici et d’ailleurs

chambly.jpg Fermez les yeux, quand à propos d’une ville, on vous dit “Vieux Longueuil” ou “Fort Chambly”, quelles images vous viennent en tête?

Pour ma part, dans le premier cas, j’imagine de petites rues pavés, entrecoupées de places historiques où les boutiques de souvenirs se mêlent aux restaurants « attrape-touristes ». Dans le second j’imagine une ville fortifiée, presque à l’image de Saint Malo, où les vestiges d’un fort des siècles passés sont encore présents, où l’on se balade à travers les murailles.

Sauf qu’on est au Québec, et plus généralement en Amérique du Nord. Le Vieux Longueuil n’a de vieux que le nom et ressemble plutôt à une petite rue commerçante de ville moyenne française. C’est sympathique mais pas vieux.
Si dans Chambly, il y a bien un fort, il est de petite taille, le long du bord de l’eau et les alentours ressemblent plutôt à une plage d’herbe sur laquelle on joue au volley, au foot (américain), au badminton et où l’on oublie carrément qu’il y a un monument historique juste à côté… La balade est agréable, surtout par beau temps, les maisons alentours incroyables mais les férus d’histoire seront forcément un peu déçus. Cela dit je compte bien y retourner pour visiter le fort quand il y aura un guide, vu que la visite ne coûte que 5,95$ si mes souvenirs sont bons.

Vivre en Amérique du Nord, c’est tiré un trait sur l’architecture ancestrale, les ruines des siècles passés et apprendre que « vieux » ici, quand il s’agit de monuments, ça équivaut plus au 19e siècle qu’au 12e! Le tout c’est de le savoir!

Vous vous prenez pour qui?

condo.png À Paris, j’avais une collègue qui se prenait pour une future mariée quelques après-midis dans l’année, le temps d’essayer des robes avec une de ses amies. Un magasin elle était la mariée, celui d’après c’était sa copine.
J’ai toujours voulu faire pareil, prétendre une journée être à la recherche d’une robe blanc-meringue, pour voir ce que ça faisait de revêtir ce type d’habit, mais je n’ai jamais osé.

Dimanche, avec Chéri, on s’est pris pour un couple à la recherche d’un appart à acheter en accompagnant des amis visiter des condos. Des condos, ce sont des apparts dans des immeubles souvent neufs et assez luxueux, dans lesquels on trouve parfois piscine et salle de sports. Nous avons donc parcouru les différents appartements encore à louer d’un immeuble du Vieux Longueuil pour voir ce que ça donnait. Pour 250 000$ environ (160000€), on pouvait avoir un 4 et demi de 1000 pieds carrés (100 m2), moderne, avec douche et baignoire dans chaque salle de bain. Je ne me rends pas compte des prix du marché mais sachant qu’on était sur la rive Sud, j’ai tendance à trouver ça un poil cher…

Du coup, de plus en plus avec Chéri, on se prend pour de futurs propriétaires et on réfléchit à ce qu’on veut et où. Une maison, un condo, un triplex (les locataires rembourseraient une partie de notre prêt), en bon état ou à rénover? Sur l’île de Montréal, sur la rive Sud, dans Ville Mont-Royal, dans St-Laurent? Autant de questions auxquelles on a du mal à répondre, surtout que pèse toujours sur nous la possibilité qu’un jour nous « ayons » à rentrer en France…

Pour l’instant on se pose simplement les questions mais de plus en plus l’envie est là de ne pas gaspiller tout notre argent dans des loyers et d’avoir notre chez nous qu’on pourrait vraiment aménager à notre goût. Dans un an, si on déménage, ça sera pour un logement à nous!

Formation

formation.gif Mercredi dernier, je me suis portée volontaire pour assister à une formation en anglais donnée de 9h à 17h sur les « biens et bris de machine » à mon travail.

Je ne sais pas si c’est l’idée d’être loin de mon bureau une journée ou le lunch gratuit à midi, mais j’étais presque enthousiaste (aussi parce que, enfin, j’allais en savoir plus sur cette ligne de couverture).

J’avais pris soin de vérifier qu’une de mes amies et collègues participerait aussi pour ne pas me retrouver seule en cas de question. La journée s’annonçait bien puisqu’en arrivant, outre le café et le jus d’orange, nous avons eu le droit à des Muffins. D’humeur sociale, j’ai pris soin de partager mon muffin aux morceaux de chocolat en deux pour en faire profiter quelqu’un d’autre, jusqu’à ce que je réalise qu’il y avait 3 pauvres morceaux de chocolat sur le dessus et rien à l’intérieur. D’où la première conclusion de cette journée : n’achetez pas vos viennoiseries chez M Muffins!

Pour permettre le travail de groupe, nous étions divisés en trois équipes, dont une avait un boulet, devinez laquelle? La mienne! Monsieur-Je-sais-tout se prenait pour le chef de file et commentait du style: « Oh good question » sans jamais penser à donner (ou chercher) les réponses. Toujours enthousiaste pour reformer l’équipe alors qu’avec ma copine on ne rêvait que de l’éviter, il a fallu faire avec toute la journée! Notre deuxième conclusion est donc, tout logiquement, à chaque formation son boulet!

Quand la journée était encore fraîche et mon attention à son comble, il a fallu que 3 femmes d’âge mûr, chacune à un bout de la table, décident de communiquer entre elles. Pas en chuchotant, ou en se faisant passer des petits mots, non, non, on se parlant à voix haute, sans tenir compte de la présence des autres ou de celle du formateur. Alors si en français j’arrive à suivre lorsqu’il y a du brouhaha, en anglais, j’ai du mal à me concentrer sur ce qu’on me dit si trois grognasses font la conversation derrière! Nouveau conseil : évitez d’être près des mégères si vous voulez suivre le cours auquel vous êtes inscrit !

Alors que nos formateurs étaient d’origine écossaise, je comprenais aisément le Monsieur, qui en plus d’être dynamique et intéressant, était drôle! Par contre, je n’en dirais pas autant de sa collègue qui est restée assise toute la formation, marmonnant un peu entre ses lèvres, rendant plus difficile sa compréhension. Elle avait en plus tendance à redire ce qui était écrit sur les PowerPoint et qu’on avait aussi en livret devant nos yeux. Homme Formateur 1 – Femme Formatrice 0.

Puis est arrivé le moment tant attendu: l’heure du lunch! Attendu parce qu’on n’avait pas fait une seule pause de la matinée et surtout parce que le repas était fourni! Ça a été l’occasion de goûter les sandwichs de Van Houtte, légèrement chauffés, avec pain aux olives pour moi, délicieux ! Les miniatures en dessert n’avaient rien de transcendantes, sans être mauvaises pour autant. Résultat : prenons nos sandwichs chez Van Houtte dorénavant!

Le reste de la journée m’a permis d’apprendre de drôles de nouveaux anglais, du type « onus, logging, sewer, etc. » mais à partir de 15h j’ai eu beaucoup de difficulté à rester concentrée, voire même juste éveillée. Comme la sieste n’était pas au programme de la formation, j’ai prié pour qu’elle se termine plus tôt et ça a été possible malgré les nombreuses interventions de notre boulet national à coup de remarques sur sa maison, questions, et autres blablas. Finalement à 16h30, on était tous libres ce qui me fait dire que les formations c’est pas mal, car j’ai pu rentrer à la maison plus tôt que d’habitude!

La Raclette

raclette.jpg
Vénéré des accros de la montagne, ou plus généralement des amoureux de la bonne chaire, il a fallu attendre le mois de juin 2009 pour que je teste ce plat dans un restaurant, qui plus est, Montréalais!
Pour moi la raclette ça se mange avec un appareil Tefal au milieu de la table où il s’agit de se souvenir quelles sont nos « coupelles ». On m’a raconté que dans les restaurants traditionnels, le fromage est raclé et servi au fur et à mesure mais dans le lieu que nous avons testé, il s’agissait « juste » d’une assiette réunissant les principaux ingrédients du plat.

Au restaurant La raclette (1051 rue Gilford), dans la « petite » table d’hôte, on a le choix entre une soupe de légume ou un jus de légume en entrée, ce à quoi on ajoute un dessert pour la « grande » table d’hôte.
Sachant qu’il en coûte 23$ avant taxes et tips pour la petite formule, je trouve l’addition un poil chère pour le repas. Cela dit, c’était bon et sans être très copieux, c’était suffisant bien que quasiment tout le monde ait pris un dessert en plus. C’est là que vient l’élément décisif: la torte au chocolat (non il n’y a pas de faute de typo), qui est en fait un espèce de gâteau au chocolat sans farine, à peine cuit, juste divin!

Pour ceux qui n’aiment pas le fromage, il y a d’autres plats au choix dont un de fruits de mer (je ne me souviens plus du nom) qui avait l’air très bon!

L’hiver prochain je compte bien tester les autres restaurants du même type qui existent, car malgré tout, c’est bien agréable de se faire une raclette ou une fondue de temps en temps, surtout quand « notre pays c’est l’hiver » (dixit Gilles Vigneault).

Comment moins pédaler?

Il y a quelque temps nous avons testé une nouvelle activité printanière: le vélo à chien! Comme le traîneau à chien pratiqué en hiver, il suffit de prendre un chien d’un bon gabarit (30 kg de muscle dans notre cas) et de tenir fermement sa laisse pour une longue balade sans avoir à pédaler ou presque!
Sauf que je me suis fait arnaquée car j’ai laissé la bête à Chéri et que moi j’ai du pédaler derrière eux, tout en invitant Tartine à aller plus doucement au début car elle tirait comme une folle! Une fois partie c’était vraiment marrant de la voir courir à toute allure et se retenir d’aller voir ce qui se passe à droite à gauche.
Avant de faire demi-tour, elle a même eu le droit de se baigner dans le canal Lachine, histoire de l’épuiser encore un peu plus! Parce que vous comprenez plus elle est fatiguée, plus elle nous fout la peine, nous sommes des monstres!

Je m’excuse pour le son (il y avait du vent), pour le fait que ça bouge (il y a des nids de poule partout et des gravillons dans notre cour) et pour le fait que ça coupe abruptement mais deux secondes plus tard, Tartine faisait caca au milieu de la route!

Idéal vs réalité

deux.jpg L’homme idéal devait être grand, brun, ténébreux, aux yeux clairs, un peu musclé mais pas trop, si possible mystérieux, drôle, intelligent et toujours prêt à la bagarre. Pas la vraie, je n’ai pas pour vocation d’être infirmière, mais plutôt les petites querelles du quotidien, celles où l’on se chamaille sans gravité ni conséquence.
Il devait aussi être romantique, prêt à faire une grande déclaration le jour J, ou de petites chaque fois que nécessaire, n’avoir d’yeux que pour moi, penser à moi tout le temps, sans être étouffant, sans être jaloux, sans être collant.

Mais entre l’homme idéal et l’homme tout court il y a forcément un écart, voire même un très grand écart.

Il y a un an je prenais un mètre pour mesurer Futur-Chéri, persuadée qu’il faisait « tout juste » ma taille (il s’avéra qu’il faisait 12 cm de plus que moi!).
Ce châtain clair aux yeux marron « qui faisait à peine ma taille » n’avait rien de mystérieux puisqu’en tant qu’ami et colocataire temporaire, il avait eu le temps de me raconter une bonne partie de son histoire, même de SES histoires (ce dont, avec le recul, je me passerais bien!).
Pourtant il y a un an quelque chose a changé et nous sommes devenus plus que des amis. Pas tout à fait encore un vrai couple, il aura fallu attendre une renégociation de contrat un mois plus tard pour passer de CDD renouvelable à CDI!

Mon amoureux n’est pas romantique pour un sou (ni musclé), il ne fait pas de déclaration (à part à Tartine), il est tellement facile à vivre qu’on ne se dispute jamais, il n’est absolument pas jaloux, pas collant non plus mais je ne suis pas sûre qu’il pense tout le temps (un peu) à moi du coup. Il n’a pas d’yeux que pour moi, d’ailleurs parfois je dois lui rappeler que les robes qu’il aime chez les autres sont les mêmes que j’ai dans mon dressing!

Alors si Moitié n’est pas franchement conforme à nos attentes, est-ce qu’on peut être heureuse, vraiment, quand même ?

Oui.

Souvenir (2)

brassens.jpg Quand j’étais petite je trouvais que ce qu’écoutaient mes parents en voiture était vraiment chiant. Ça avait beau être les Beatles, Rolling Stones ou Jacques Brel, jamais je n’aurais admis qu’une des chansons était bien. Quelques années plus tard, j’ai eu ma période Jacques Brel où je pouvais écouter à fond plusieurs fois de suite J’arrive sans me lasser alors que mon frère, qui était dans une période différente, trouvait mes CD déprimants!

L’autre jour dans mon Ipod, j’ai entendu La mauvaise réputation et Gare aux gorilles de George Brassens. Outre le fait que ces chansons me font rire, la première me rappelle surtout un été où mon père s’était mis en tête de nous apprendre par cœur les paroles.
On a répété inlassablement les mêmes phrases :
« Au village, sans prétention, j’ai mauvaise réputation
Qu’je m’démène ou qu’je reste coi
Je pass’ pour un je-ne-sais-quoi!
Je ne fais pourtant de tort à personne
En suivant mon chemin de petit bonhomme.
Mais les braves gens n’aiment pas que
L’on suive une autre route qu’eux,
Non les braves gens n’aiment pas que
L’on suive une autre route qu’eux,
Tout le monde médit de moi,
Sauf les muets, ça va de soi… »

Si je ferme les yeux, je peux nous revoir sur la terrasse en train de fredonner ce morceau ou en train de chercher quelle était la phrase suivante. Je ne sais pas pourquoi mon père voulait qu’on apprenne ce morceau en particulier mais ça nous a enjoué quelques semaines, le temps d’un été et plusieurs années après je m’en souviens encore.

Vroum Vroum Vroum

boumbo.jpg Dimanche, ce n’est pas le tour de l’île à vélo qui aurait du faire râler les automobilistes montréalais, mais bien ma présence sur la route. Et quand je dis présence, j’entends derrière le volant!

J’ai beau avoir obtenu mon permis en 1999 après 2 ans de conduite accompagnée, deux ou trois petits incidents en voiture m’ont fait perdre une bonne partie de ma confiance sur la route. Cela dit, pour ma défense, ce sont surtout les stationnements qui me posent problème, puisque 3 des dits incidents ont eu lieu avant ou après m’être garé…

Je vous passe le premier, qui impliquait juste un petit boui-boui sur une place de parking que je n’avais pas vu mais que le pare-choc de la twingo de mes parents n’a pas trop aimé!
Le deuxième, si je me souviens bien, c’était toujours avec la twingo, qui plus est sous les yeux de mes parents! M’entendant arriver alors qu’ils jardinaient, ils avaient pris soin d’ouvrir le portail et le garage pour que je n’ai pas à sortir de la voiture, sauf qu’arrivant un poil vite et ayant une très mauvaise appréciation des gabarits (et des distances), j’ai accroché l’aile droite sur le mur du garage! Sous les yeux ébahis de mes parents, qui m’ont évidemment passé un savon à cause de ma vitesse!

La troisième fois, c’est en sortant d’une station essence que j’ai tourné un peu court et que je me suis pris un van garé le long du trottoir! Cette fois je conduisais une Safrane que Renault nous reprenait quelques jours plus tard à l’achat d’un Scénic! Autant dire que mes parents n’étaient pas ravis que j’abîme la voiture alors que le marché venait d’être conclu!

Enfin, l’incident qui me laisse le pire souvenir est quand j’ai failli faire tomber le fameux Scénic dans la piscine… J’étais chargée de lui faire faire demi-tour pour sortir mais comme il y avait un tuyau de Karcher sur mon chemin, je suis sortie le pousser. Sauf que j’ai mal mis le frein à main!!! La voiture en légère pente a commencé à reculer vers la piscine quand j’ai sauté dedans pour l’arrêter! Sauf que sous le coup de la panique, je n’étais plus capable de trouver la pédale du frein! Sans compter que dans ces modèles, le frein à main consiste en un bouton à appuyer en même temps que la pédale du frein, donc je ne pouvais même pas utiliser ce stratagème! J’ai eu la peur de ma vie, surtout que mon père n’était pas loin, à hurler en voyant la voiture reculer inexorablement!

Avec tout ça vous comprenez que je n’étais pas pressée de conduire notre nouvelle Mazda 3, tout comme Chéri n’était pas pressé de me laisser le volant!

Malgré tout, profitant d’une balade vers Bois-de-Liesse et de l’absence de véhicules alentour, Chéri m’a appris à utiliser la boîte automatique. Le plus chiant étant certainement les pédales beaucoup plus sensibles que les boîtes manuel, Chéri a donc du répéter régulièrement « en douceur, doucement » pour prévenir les à-coups! Je pensais me limiter au parking de L’Oréal mais non, Monsieur a dit qu’il était temps que je me remette à conduire, j’ai donc pu affronter l’autoroute québécoise, une vraie partie de plaisir qui vaudra un prochain article!

Compte à rebours

cartons.jpg Dans moins d’un mois, on déménage dans notre grand et bel appartement! J’ai autant hâte pour la surface que l’on va avoir en plus que pour le grand parc à chien qui sera juste à côté! Comme quoi on change quand on a un animal! En tout cas, les attentes sont hautes, croyez-moi!

Mais qui dit « déménagement » dit « cartons« ! C’est la partie la moins marrante de l’histoire, surtout que vu la taille de notre appartement actuel, on ne peut pas les faire trop en avance sous peine de ne plus avoir de place! Alors dans 2 semaines, c’est encartonnage en masse et au dernier moment il faudra démonter toutes sortes de meubles et prier pour qu’on puisse tout emmener en une fois…

Dans moins de deux mois, je rentre en France pour une dizaine de jours. Je dirais bien que c’est pour des vacances mais le lendemain de mon arrivée j’ai un enterrement de vie de jeune fille, la semaine suivante, le mariage de ma cousine et 2 jours après je rentre! En fait, ça va être plus épuisant que 10 jours de travail mais au moins je serais entourée de ma famille, dans la maison parentale!

Reste que dans l’optique du mariage (pour lequel je suis témoin), il faut que je me trouve une robe et, plus compliqué, des chaussures! Il faut vite que j’achète le tout, histoire d’avoir le temps de m’habituer à mes nouvelles chaussures qui devraient normalement comporter un talon! L’épreuve!

Pub d’ici et vocabulaire

Il y a des choses dans le langage québécois qui me choquent toujours un peu, c’est l’usage de certains mots qui font parti du vocabulaire « vulgaire » pour les français dans les pubs.

La première qui m’a fait tiltée, c’est la campagne d’IGA (un équivalent de Carrefour) qui parle de « bouffe ». Je sais bien que ce mot n’est pas vulgaire en tant que tel, mais ça fait quand même partie de ces mots pas très jolis qu’on n’utilise entre pote mais pas avec son patron par exemple. Ici, oui.
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Dans le même ordre d’idée, j’ai découvert cette semaine la campagne pour la BMO (une banque) qui utilise le mot « fric ». Là encore, pas de gros mot, juste un mot un peu trop courant pour être utilisé par une institution à mon goût…
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